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Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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L’OIM à Séoul organise un séminaire sur la politique de lutte contre la traite
Republic of Korea - D’après l’OIM, l’absence d'indicateurs efficaces pour identifier les victimes de traite en république de Corée provoque une situation dans laquelle les victimes sont souvent traitées comme des criminels.
Pour gérer la situation, l'OIM à Séoul organisera un séminaire politique le 31 août pour encourager le développement d'indicateurs d'identification des victimes de traite et pour garantir une législation pertinente en Corée.
Le séminaire est co-organisé par Jasmine Lee, toute première législatrice naturalisée coréenne, et se tiendra à l'assemblée nationale, réunissant les professionnels sur le terrain, des experts du droit et des responsables gouvernementaux qui débattront des questions les plus urgentes en matière de prévention de la traite des personnes, de protection des victimes et de poursuite des trafiquants.
La Corée a signé le protocole des Nations Unies visant à prévenir, réprimer et punir la traite des personnes, en particulier des femmes et des enfants (protocole de Palerme) en 2000.
L'accord a été ratifié par l'assemblée nationale en 2015, pourtant, à ce jour, il n'existe aucune législation pour le rendre effectif.
« Bien que la Corée ait été classée dans la catégorie 1 du rapport américain sur la traite des personnes pendant ces 13 dernières années, de nombreuses victimes ne reçoivent pas une protection adéquate, en raison de l'absence d'indicateurs d'identification et d'une législation pertinente », a déclaré Miah Park, responsable du Bureau de l’OIM à Séoul.
« Certaines sont même traitées comme des criminels lors du processus d'enquête car il n'existe aucun indicateur approprié pour identifier les victimes », a-t-elle ajouté.
Le rapport 2015 sur la traite des personnes, publié le mois dernier, établit que la Corée répond entièrement aux normes minimums pour l'élimination de la traite.
« Il est temps de viser plus haut et de trouver les meilleures solutions possibles pour prévenir la traite des personnes, protéger les victimes et poursuivre les auteurs afin de produire de réels changements », a poursuivi Mme Park.
L'OIM à Séoul a participé activement aux activités de lutte contre la traite ces dernières années, qui ont donné lieu à un projet de recherche, financé par les Etats-Unis, sur la lutte contre la traite dans le domaine de l'exploitation de migrants venus d'Asie de l'Est et du sud-est travaillant à bord de chalutiers.
Elle participe également avec intérêt au dialogue politique sur le visa E-6 (métiers du divertissement) de la Corée avec la société civile et les juristes de la fonction publique.
Pour plus d'informations, veuillez contacter Eunjin Jeong, OIM Séoul, Tel: +82 70 4820 2324, Email: ejeong@iom.int