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Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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- Bureau du Chef de Cabinet
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- Bureau de la stratégie et de la performance institutionnelle
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Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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- 2030 AGENDA
L'OIM se joint aux dirigeants, donateurs et partenaires de la santé venus du monde entier pour la session spéciale de haut niveau sur le Sida de l'Assemblée générale des Nations Unies
Une délégation de l'OIM dirigée par William
Lacy Swing, Directeur général de l'OIM, a rejoint les
dirigeants, donateurs et partenaires de la santé, qui se
réunissent à New York cette semaine, pour la session
spéciale de haut niveau sur le SIDA de l'Assemblée
générale des Nations Unies.
Dis ans après la déclaration d'engagement sur le
VIH/sida en 2001, les pays examinent l'avancement accompli par
rapport à ces engagements et débattent d'un nouvel
accord qui déterminera l'avenir des opérations de
lutte contre le VIH.
« La gestion des problèmes de santé
liés à la migration requiert une coopération
entre les pays et les secteurs d'activité », explique
William Swing. « L'un des rôles de l'OIM les plus
importants est d’intégrer les migrations dans le
dialogue mondial sur la santé, afin de permettre de trouver
des solutions durables pour les gouvernements et de partager de
bonnes pratiques qui protègent les droits des migrants.
»
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target="_blank" title="">Political Declaration on
HIV/AIDS
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title="">Remarks by IOM Director General William Lacy
Swing
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"_blank" title="">VIH et les migrations
D'importants progrès ont été accomplis dans
la garantie d'un accès universel à la
prévention, au traitement, aux soins et au soutien face au
VIH, mais les problèmes persistent en ce qui concerne les
migrants, en particulier ceux qui ne disposent pas d'un statut
légal.
Bien que tous les migrants ne soient pas exposés à
un risque élevé d'infection au VIH, en fonction de
leur expérience tout au long du processus de migration,
certains migrants sont en effet plus vulnérables au virus.
Dans certains cas, les migrants peuvent perdre leur emploi ou leur
visa si leur infection est découverte.
De nombreux migrants font également face à des
obstacles pour accéder aux soins en général.
Les services et les informations n'existent par forcément
dans leur langue et ne sont pas toujours adaptés à
leur culture, et les migrants irréguliers peuvent craindre
la discrimination, voire l'expulsion s'ils se rapprochent des
prestataires de soins publics.
« Nous sommes là pour s’assurer que les
migrants ne tombent pas dans l'oubli », déclare
Rosilyne Borland, coordinatrice des opérations de l'OIM face
au VIH, avant d'ajouter « cet événement aura
des conséquences sur le financement futur dans le domaine de
la santé et sur l'information dans les pays. L'OIM
uvre avec ses Etats membres et d’autres partenaires
pour garantir l'inclusion des migrants. »
Dans le cadre de la phase préparatoire de la
réunion de haut niveau, l'OIM et USAID ont
réexaminé les plans stratégiques nationaux sur
le VIH/Sida et sur la migration.
« Quatre-vingt-dix pour cent des plans que nous avons
réexaminés font mention des migrants. Cela confirme
que la migration est importante pour la plupart des pays, ce qui
n'est pas surprenant puisque les migrations touchent la plupart des
pays », explique Poonam Dhavan, coordinateur de l'OIM de la
recherche et de l'épidémiologie.
Ce nouvel examen confirme également la manière
dont les plans des pays sur le Sida font référence
aux migrants et que la terminologie utilisée pour la
migration varie très largement, avec des termes allant de
travailleur illégal, étranger et migrant saisonnier
à rapatrié, migrant à l'étranger et
victime de traite.
« Les migrants sont extrêmement divers et la plupart
des pays dans le monde sont confrontés à une
série de flux migratoires, souvent en tant que pays
d'origine, de transit et de destination à la fois. Et il
reste encore beaucoup à faire pour harmoniser les approches
face au VIH avec les migrants », souligne Rosilyne
Borland.
La surveillance de la santé des migrants est le fondement
de la Résolution 61.17 de l'Assemblée mondiale de la
Santé sur la santé des migrants, l'un des nombreux
engagements existants qui devraient être inclus dans la
nouvelle déclaration d'engagement sur le VIH/Sida.
Dans le cadre de la réunion de haut niveau, l'OIM,
l'ONUSIDA, l'OIT et le HCR co-organisent un évènement
parallèle sur la migration et le VIH, visant à
promouvoir le dialogue entre les gouvernements, la
société civile et d'autres partenaires, sur la
population mobile et le VIH.
L'OIM a renouvelé son cadre de travail avec l'ONUSIDA en
2011, renforçant davantage un partenariat
reflété par des activités communes au niveau
national à travers le monde.
Pour plus d'informations, veuillez contacter:
Rosilyne Borland
Département Migration et Santé
OIM Geneva:
Tel +33 682 70 6494
Email:
"mailto:rborland@iom.int">rborland@iom.int