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Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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L’OIM se joint au lancement d’une publication de l’OIT faisant la promotion d’une approche à la migration, à la santé, au VIH et au SIDA fondée sur les droits
Genève - L’OIM, l’organisme des Nations Unies chargé des migrations, représentée par Jacqueline Weekers, Directrice de la Division « migration et santé », a participé, hier, 14 février, au lancement de la publication de l’Organisation internationale du travail (OIT) sur la promotion d’une approche à la migration, à la santé, au VIH et au SIDA fondée sur les droits : cadre d’action.
L’OIM a fourni un soutien technique et des conseils sur la rédaction de la publication qui soulignait que l’accès des migrants à la santé et aux services contre le VIH ne pouvait être amélioré qu’en adoptant une approche fondée sur les droits dans la gouvernance du processus de migration tout entier.
Le rapport met en lumière un cadre d’action dans les domaines clés du droit, de la politique et de la pratique, afin d’éclairer l’action régionale, nationale et locale afin de traiter les questions de VIH et de SIDA chez les migrants.
« De nombreux migrants sont confrontés à la discrimination et ceux qui souffrent de maladies, surtout les migrants séropositifs, sont doublement discriminés. On ne saurait trop insister sur leur difficulté à accéder aux services dont ils ont besoin et à la continuité des soins lorsqu’ils traversent les frontières. En plus d’être une violation des droits de l’homme, il s’agit d’un problème de santé publique majeur », a déclaré jacqueline Weekers.
Modéré par Arlette van Leur, Directrice du Département des politiques sectorielles de l’OIT, l’événement a été animé par les orateurs Shauna Olney, responsable du Service des questions de genre, de l’égalité et de la diversité (GED) de l’OIT, et Patrick Taran, Président des Global Migration Policy Associates (GMPA). Se sont joints au débat Jacqueline Weekers et Mamadi Diakite, Conseiller spécial sur la sécurité, les affaires humanitaires et les pays fragiles du Programme commun des Nations Unies sur le VIH/sida (ONUSIDA).
« Il est temps de souligner la nécessité de changer les mentalités, de trouver des approches fondées sur des faits et sur les droits de l’homme pour répondre aux problèmes de sécurité sanitaire et de propagation des maladies dans un monde transnational. Il ne sert à rien de fermer les frontières, d’empêcher les personnes de migrer ou de les exclure des systèmes de santé. Il faut plutôt les intégrer et mettre en œuvre des moyens intelligents et innovants pour s’occuper de la santé de sociétés de plus en plus diverses », a déclaré Jacqueline Weekers.
« L’exclusion et la stigmatisation feront proliférer le VIH, avec d’importantes conséquences sur la santé publique et les économies. Trouver des approches fondées sur les droits qui intègrent les vulnérabilités et les besoins des migrants est le meilleur moyen de contrôler le HIV/sida et la souffrance », a-t-elle ajouté.
Les participants ont également fait part de leur vision de la future coordination et coopération des parties prenantes sur la scène migratoire, en se centrant sur les problèmes mis en avant dans la publication, et en mettant l’accent sur la nécessité de travailler ensemble en synergie.
Pour plus d’informations, veuillez contacter Jacqueline Weekers, siège de l’OIM, Email : jweekers@iom.int, Tel : + 41 22 717 93 55