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Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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L’OIM salue les actions entreprises pour éradiquer le paludisme dans les zones endémiques d’Afrique australe
Sud-africaine - L’OIM se réjouit de la décision des ministères de la Santé des pays d’Afrique australe où le paludisme est endémique, d’adopter, cette semaine, la Déclaration de Victoria Falls, dans laquelle ils s’engagent à éradiquer le paludisme et à étendre le contrôle de la maladie aux communautés migrantes et mobiles difficiles à atteindre.
Il s’agissait de la première rencontre de haut-niveau visant à débattre du paludisme dans le contexte des migrations et de la mobilité humaine. La déclaration a été adoptée par les ministres de Côte-d’Ivoire, du Gabon, du Soudan, de Zambie et du Zimbabwe, ainsi que par les ministres adjoints d’Afrique du Sud, du Mozambique et des hauts responsables des gouvernements du Swaziland et du Kenya.
« Nous vivons à une époque de mobilité humaine sans précédent. Le paludisme peut être évité et traité, mais il reste en réalité une maladie mortelle qui ne connaît aucune frontière. Alors que le monde se prépare au Programme de développement post-2015, il est impératif d’intégrer les migrations et la mobilité humaine dans les questions de santé si nous voulons que les progrès actuels soient durables », a déclaré le Directeur Général de l’OIM, William Lacy Swing.
En adoptant la Déclaration, les ministres de la Santé ont reconnu que le paludisme continuait d’être un obstacle aux progrès économiques dans le monde entier, en particulier pour les plus démunis.
Ils ont également reconnu que les migrants avaient toujours des difficultés d’accès au traitement du paludisme lors des différentes phases du processus de migration et que si le status quo persiste, les résultats du contrôle et de l’éradication de la maladie au niveau national ne dureront pas.
Les ministres ont en outre trouvé que l’absence de données et la faiblesse des systèmes de santé posaient un réel problème pour lutter contre le paludisme dans la région. Ils ont affirmé qu’il était nécessaire de renforcer la recherche opérationnelle qui fournira des données/informations pour la planification et la prise de décisions. Les ministres ont accepté de collaborer et de renforcer les projets transfrontaliers existants visant à combattre le paludisme.
La Déclaration de Victoria Falls comprend un plan d’action en dix phases pour mettre en place des mesures visant à poursuivre le travail sur le contrôle et l’éradication du paludisme jusqu’à ce que tous les objectifs soient atteints.
Le plan comprend un engagement, sous forme de déclaration par les responsables de la santé, à se pencher sur la question du paludisme dans le contexte de la migration et de la mobilité humaine. Par le biais de cette déclaration, les responsables de la santé, y compris le secteur privé et les partenaires du développement, se sont engagés à prendre en compte l’impact de la migration et de la mobilité humaine sur le contrôle et l’éradication du paludisme, et à remédier aux problèmes qui se posent dans la fourniture de services de santé adéquats et globaux aux populations transfrontalières, mobiles et migrantes.
Pour plus d’informations, veuillez contacter
Gaone Dixon
OIM Pretoria
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