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Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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L’OIM salue la promulgation d’une loi de lutte contre la traite en Afrique du Sud
Sud-africaine - L’OIM en Afrique du Sud salue la promulgation d’une loi très attendue pour prévenir et combattre la traite des personnes par le Président Jacob Zuma.
« La promulgation de cette loi est une étape importante. Pour la première fois, l’Afrique du Sud disposera d’une loi à part entière qui lutte contre le fléau de la traite de manière globale. Jusqu’ici, le cadre juridique de ce phénomène était fragmenté », a déclaré le Président dans une déclaration publiée la semaine dernière.
La nouvelle législation fait clairement de la traite des personnes une infraction pénale. En outre, elle condamne d’autres infractions telles que la servitude pour dettes, la détention, la destruction et la dissimulation de faux documents de voyage ou encore l’emploi de services de victimes de traite.
Les délinquants jugés coupables de cet esclavage moderne encourront une amende de 10 millions de dollars et une peine de réclusion criminelle à perpétuité, ou les deux. Les auteurs de cet acte pourront également devoir payer des dommages et intérêts à leurs victimes.
« L’adoption de cette loi est importante non seulement pour prévenir et combattre la traite des personnes en Afrique du Sud mais également pour rendre justice aux victimes de traite. Nous pensons que ces peines sévères auront un effet dissuasif pour les auteurs potentiels », a déclaré le Dr Erick Ventura, chef de mission de l’OIM en Afrique du Sud.
Dans le passé, l’Afrique du Sud utilisait les lois existantes comme la législation sur les délits sexuels et la Loi sur l’enfance pour poursuivre les auteurs. Cependant, il existait des lacunes dans les mesures visant à prévenir et à combattre la traite, et à fournir une protection et une aide aux victimes. La nouvelle loi fait naître un cadre juridique qui comporte des mesures visant à prévenir la traite, à poursuivre les trafiquants et à protéger les victimes de traite.
Les victimes de traite subissent un immense traumatisme lors du processus de traite. En plus de créer des infractions très spécifiques ayant une incidence sur les victimes de traite, la législation est également centrée sur la détresse des victimes, en leur fournissant une protection et une aide pour surmonter leurs expériences traumatisantes qui mettent bien en souvent leur vie en danger.
La traite des être humains est difficile à mesurer en termes de statistiques. Les études menées par l’OIM et d’autres organisations suggèrent toutefois que le problème est relativement répandu en Afrique du Sud. L’OIM s’engage à soutenir le gouvernement pour faire appliquer la nouvelle législation et continuera à renforcer la capacité du gouvernement et des partenaires de la société civile à intervenir de manière efficace et globale.
Pour plus d’informations, veuillez contacter
Gaone Dixon
OIM Pretoria
Email: gdixon@iom.int
Tel +27 72 127 7094