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Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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L’OIM renforce la participation des organisations de la diaspora à la réponse, à la préparation et au relèvement face aux catastrophes
Washington, D.C. - L’Organisation internationale pour les migrations (OIM) a organisé, la semaine dernière (13-14/09), des séances de formation pour les organisations de la diaspora bangladaise, haïtienne et philippine durant lesquelles les participants ont parlé de la construction d’abris plus sûrs dans la réponse, la préparation et le relèvement face aux catastrophes.
La fréquence et l’intensité des catastrophes naturelles forcent davantage de personnes à fuir leur domicile chaque jour. De récents événements comme l’ouragan Dorian au début du mois rappellent brutalement la nécessité de reconstruire des abris plus résistants aux catastrophes pour aider à prévenir ou à réduire le déplacement associé aux catastrophes naturelles.
Au lendemain d’une crise, seuls 15 à 20 pour cent des besoins en abris sont généralement couverts par la communauté internationale. Les personnes sinistrées se retrouvent seules pour reconstruire leur maison, dépendant souvent de l’aide, de l’argent et des bénévoles de la diaspora.
« La diaspora s’avère être l’un des principaux acteurs des interventions dans de nombreux pays », a déclaré Joseph Ashmore, spécialiste des abris et des installations à l’OIM. « Les contributions qu’apportent les groupes de diaspora peuvent être plus importantes que la réponse globale interorganisations à certains endroits. »
La formation fait partie d’un projet plus large financé par le Bureau de l’aide en cas de catastrophe à l’étranger (OFDA) de l’Agence américaine pour le développement international. Reconnaissant le rôle essentiel de la diaspora, le projet vise également à informer la diaspora sur les mécanismes de coordination existants dans le domaine de la réponse aux catastrophes et des abris et à explorer les liens avec ces systèmes.
L’Unité de réponse d’urgence de la diaspora haïtienne (HDREU) est déjà un exemple d’une réponse aux catastrophes plus coordonnée et efficace, au sein de la diaspora et entre la diaspora et les autres parties prenantes. La coalition de plus d’une trentaine d’organisations de la diaspora mobilise actuellement des ressources afin de mieux répondre aux besoins des communautés touchées par l’ouragan Dorian aux Bahamas.
« Après chaque catastrophe, nous devrions nous améliorer, non le contraire », a déclaré Magalie Emile-Backer, co-fondatrice de Haïti Renewal Alliance, l’une des principales organisations de la HDREU. « Ces formations nous permettront d’avoir de meilleures connaissances en matière de reconstruction de logements plus sûrs pour pouvoir former nos communautés et garantir que nous réduirons l’impact de la prochaine catastrophe lorsque nous savons qu’elle arrive. »
Cet atelier a été animé par des représentants de l’OIM, de l’OFDA, d’InterAction, de la Banque mondiale, de l’Association des anciens étudiants de San Francisco de l’Université des Philippines, d’Haïti Renewal Alliance et de la Fondation UDION.
L’an dernier, des formations ont été organisées à Washington, San Francisco et Miami. D’autres ateliers se tiendront à New York, à Boston et à Houston dans les prochains mois.
Pour plus d’informations, veuillez contacter Liz Lizama, OIM Washington, Tel. +1 202 716 8820, email : elizama@iom.int