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Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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L'OIM publie une étude sur l'impact des rapatriements de fonds
L'OIM a publié les conclusions d'une étude examinant
l'impact des rapatriements de fonds sur les travailleurs migrants
cambodgiens en Thaïlande et sur les communautés locales
au Cambodge.
L'étude, financée par l'Agence Française de
Développement, a été lancée hier lors
d'un atelier de l'OIM à l'hôtel Sunway, à Phnom
Penh.
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target="_blank" title="">Analyzing the Impact of Remittances from
Cambodian Migrant Workers in Thailand on Local Communities in
Cambodia
Le rapport était centré sur les provinces de Prey
Veng et Kampong Cham en Cambodge et sur les provinces de Trad et
Rak Yorng en Thaïlande.
« L'élément le plus important que nous avons
découvert grâce à cette étude est
l'écart considérable entre la compréhension
des migrants et celle des familles d'où ils viennent,
concernant les motifs et les méthodes de migration des
personnes, les méthodes de rapatriement de fonds, et les
attentes de chaque groupe par rapport au processus »,
explique le Dr Bruno Maltoni, responsable du programme de
l'OIM.
« Les familles des migrants participent en
général seulement aux phases préliminaires du
processus de migration, c'est-à-dire, avant que les migrants
partent pour la première fois. En raison de la mauvaise
communication, ils ne sont pas en lien direct avec les migrants
après leur départ et sont très peu au courant
des autres aspects du processus de migration, à savoir
comment les migrants parviennent à traverser la
frontière illégalement ou comment ils rapatrient de
l'argent », a-t-il ajouté.
La mauvaise communication et l'absence de nouvelles
régulières sur la situation des familles qu'ils ont
laissées au pays signifient que les migrants ont très
peu d'informations sur la manière dont leurs fonds
rapatriés sont dépensés. Ils ont notamment
tendance à sous-estimer la somme que les familles doivent
souvent débourser pour la santé et le remboursement
des intérêts de dettes.
L'étude, qui portait sur 300 familles an Cambodge et 200
migrants en Thaïlande, ont reconfirmé que les
rapatriements sont transférés principalement par des
voies informelles et sont utilisées pour couvrir les besoins
primaires des familles.
La majorité des flux migratoires au Cambodge reste
interne puisqu'un quart de la population migre des zones rurales
vers les centres urbains à la recherche de travail,
notamment dans l'industrie du vêtement qui emploie quelque
250 000 personnes, principalement des femmes.
Cependant, un nombre croissant de cambodgiens migrent
aujourd'hui à l'étranger, notamment en
Thaïlande, qui accueille actuellement 248 000 Cambodgiens. Le
total des fonds rapatriés par les travailleurs cambodgiens
à l'étranger en 2009 atteignait 353 millions de
dollars, d'après le rapport de développement humain
du PNUD. D'après certaines autres institutions, ce chiffre
s'élèverait en réalité à 560
millions de dollars, soit 7,8% du PIB.
Le rapport de l'OIM révèle qu'en raison de
l'absence de recherche, il n'existe actuellement toujours aucunes
données fiables sur le volume d'argent
transféré, sur l'utilisation des rapatriements de
fonds des travailleurs migrants et sur leur contribution au
développement économique du pays.
Le rapport peut-être téléchargé sur
:
Pour plus d'informations, veuillez contacter:
Dr Bruno Maltoni
OIM Phnom Penh
Tél. +855 23 21 65 32
E-mail :
"mailto:bmaltoni@iom.int">bmaltoni@iom.int