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Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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L’OIM publie une étude sur les migrants dominicains en Argentine
Argentine – L’OIM en Argentine et la Commission de soutien aux réfugiés et aux migrants (CAREF), une ONG œuvrant pour la défense des droits fondamentaux des migrants et des réfugiés, ont accepté de mener des recherches sur la situation des migrants dominicains en Argentine.
La nouvelle étude sur les caractéristiques sociodémographiques des migrants dominicains en Argentine, centrée plus particulièrement sur leur participation au marché du travail, sur le logement et l’information, viendra mettre à jour une étude similaire réalisée par l’OIM et la CAREF en 2002/2003.
A l’époque, cette étude avait révélé que les femmes dominicaines qui ont commencé à arriver en Argentine à la fin des années 90 connaissaient de grandes difficultés à entrer sur le marché du travail dans les secteurs traditionnels tels que le travail domestique, l’aide à domicile pour les personnes âgées et les enfants, et le secteur des services.
Elles devenaient des proies faciles pour les trafiquants et les proxénètes, ce qui expliquait le nombre disproportionné de femmes dominicaines impliquées dans le commerce du sexe, soit en tant que travailleuses du sexe indépendantes, membres de réseaux de prostitution ou victimes de traite.
Au cours des dix dernières années, la migration depuis la République dominicaine vers l’Argentine s’est poursuivie mais a subi de nombreux changements, notamment une hausse du nombre d’hommes. Le recensement de 2010 faisait état de 5 600 citoyens dominicains présents dans le pays, dont 1 400 hommes. Les femmes dominicaines sont aujourd’hui également employées dans de petits commerces de détail et dans l’industrie de la mode.
Toutefois, leur difficulté à obtenir tous les papiers nécessaires à la régularisation de leur statut de résident dans le cadre du Régime de régularisation pour les étrangers de nationalité dominicaine, ainsi que leur exploitation par des proxénètes et des trafiquants, continuent de rendre vulnérables de nombreux Dominicains vivant en Argentine.
La nouvelle étude, financée par l’OIM, comprendra des entretiens approfondis avec des hommes et femmes dominicains en situation irrégulière en Argentine et fera la lumière sur la façon dont ils sont parvenus à y entrer, à savoir notamment s’ils ont fait appel aux services de passeurs ou s’ils ont été victimes de traite.
Pour plus d’informations, veuillez contacter
Mariana Beheran
OIM Buenos Aires
Tel: +54 11 4815-1035/4811-9148/4813-9714
Email: mbeheran@iom.int