-
Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
Structure
Structure
- Structure organisationnelle
- Directrice générale
- Directrice générale adjointe chargée de la gestion et des réformes
- Directrice générale adjointe chargée des opérations
- Bureau du Chef de Cabinet
- Bureau des partenariats, de la sensibilisation et de la communication
- Bureau de la stratégie et de la performance institutionnelle
-
Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
Ce que nous faisons
Ce que nous faisons
Partenariats
Partenariats
- Où travaillons-nous
-
Agir
Agir
Travailler avec nous
Travailler avec nous
Engagez-vous
Engagez-vous
- Données et recherche
- 2030 AGENDA
L’OIM prend des mesures supplémentaires en faveur de la mobilité de main-d’œuvre en Afrique australe
Afrique du Sud – L’OIM, l’Organisation internationale du Travail (OIT) et la Communauté de développement de l’Afrique australe (SADC) ont lancé, la semaine dernière (30/03), un ensemble de mesures qui encourage les pays d’Afrique australe à renforcer la coopération régionale en matière de migration de main-d’œuvre.
Les « Directives régionales pour le développement d’accords de travail bilatéraux dans la Communauté de développement de l’Afrique australe » et le « Guide régional visant à faciliter la mobilité de main-d’œuvre Sud-Sud en Afrique australe » ont été adoptés et officiellement lancés lors d’une conférence régionale de deux jours à Pretoria sur les initiatives de migration de main-d’œuvre en Afrique australe. Des membres de l’OIM, de l’OIT et de la SADC ainsi que des partenaires bilatéraux et multilatéraux concernés par la migration de main-d’œuvre y ont participé.
« Ces guides régionaux offrent des outils, des informations stratégiques et une orientation pour la création d’une politique et de programmes de migration de main-d’œuvre tenant compte des droits qui permettent de renforcer la protection des droits des travailleurs migrants et d’intégrer la migration de main-d’œuvre dans les plans de développement nationaux et régionaux. Lorsqu’elle est bien gérée, la migration de main-d’œuvre a un fort potentiel pour les migrants, leurs communautés, les pays d’origine et de destination et pour les employeurs », a déclaré Josiah Ogina, Directeur régional du Bureau de l’OIM pour l’Afrique australe.
La population de plus en plus jeune associée à la hausse du chômage et au manque d’offres d’emploi légal se traduisent par l’intensification de la mobilité des compétences et du travail depuis et vers l’Afrique australe et également à l’intérieur de la région. En 2013, la région a enregistré plus de quatre millions de migrants, sans compter les migrants irréguliers, dont 44 pourcent étaient des femmes et 20 pourcent, des jeunes de moins de 19 ans. Aujourd’hui, ces flux restent principalement informels et irréguliers, ce qui empêche les pays de tirer tous les avantages de la mobilité de main-d’œuvre. Le développement de compétences, le chômage ou le sous-emploi, l’extrême pauvreté, l’urbanisation, les changements environnementaux et l’instabilité sont tous autant de facteurs importants de migration dans la région.
Les accords de migration nationaux, bilatéraux et régionaux jouent un rôle essentiel dans la protection des travailleurs migrants lors de leur processus de migration.
« Ces mesures aideront les Etats membres de la SADC à développer des solutions et des approches politiques nationales améliorant la gouvernance en matière de migration de main-d’œuvre à l’intérieur de la région de l’Afrique australe. Leur mise en œuvre par les Etats membres nous rapprochera de l’objectif de libre circulation des capitaux, du travail, des biens et des services, envisagée dans la Déclaration et le Traité de 1992 de la SADC », explique Hlalerwayo Kelvin Nyangulu, Commissaire malawite du travail.
Le financement du lancement a été fourni par le Fonds de développement international.
Pour plus d’informations, veuillez contacter LErato Tsebe, OIM Afrique du Sud, Tel: +27 (0)72 127 7094, Email: ltsebe@iom.int ou Chiara Frisone, Bureau régional de l’OIM, Tel: +27 (0)79 520 4696, Email: cfrisone@iom.int