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Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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L’OIM participe à la 37ème formation interaméricaine sur la migration internationale à Mar del Plata, en Argentine
Argentine - L’OIM a démarré, hier, la nouvelle édition de la Formation interaméricaine sur la migration internationale, à Mar del Plata, en Argentine. Cet événement a lieu chaque année et est destiné aux responsables gouvernementaux de la région d’Amérique latine.
L’événement de cette année réunit 28 représentants de 15 pays d’Amérique latine qui travaillent dans les bureaux de l’Administration directement concernés par les questions de migration. Il regroupe également 23 experts de la migration, venus de 7 pays différents, qui enseigneront différents sujets liés à la migration pendant la formation de deux semaines.
En outre, la formation comptera sur la participation d’experts du Haut-Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR), du Bureau du Haut-Commissariat pour les droits de l’homme (HCDH), de l’Institut de la Politique publique des droits de l’homme (IPPDH en espagnol) et du Réseau de migration internationale Scalabrini (SIMN).
La cérémonie d’ouverture a été présidée par l’Ambassadeur Rubén Buira, responsable des affaires consulaires du Ministère des affaires étrangères et du culte en Argentine, et par Diego Beltrand, Directeur régional de l’OIM pour l’Amérique du Sud.
M. Beltrand a déclaré qu’au fil des années, la formation était devenue une référence académique et un espace d’échange d’expériences nationales, qui contribue à une meilleure compréhension des tendances et des questions de migration auxquelles sont confrontés les pays de la région.
La formation est notamment centrée sur des thèmes tels que la protection internationale des migrants, les aspects juridiques de la gestion publique des migrations, les processus régionaux d’intégration et les politiques actuelles, et les programmes de migration internationale.
Par ailleurs, cette édition couvre également le thème de la migration, de l’environnement et des changements climatiques.
« Le contenu de la formation a été élaboré sur une approche basée sur les droits de l’homme pour les migrants au centre d’une politique migratoire », a ajouté M. Beltrand.
Dans le cadre de la Formation interaméricaine sur la migration internationale, l’OIM a formé, jusqu’à maintenant, plus de 800 responsables gouvernementaux d’Amérique latine et des Caraïbes.
Pour plus d’informations, veuillez contacter Lujan De La Torre, OIM Amérique du Sud, Tel: +54 11 5219-2033/5219-2034/5219-2035 Email:ldelatorre@iom.int
Ou Niurka Piñeiro, Département médias et communication, OIM Washington, Tel: +1 202 862 1826 ext. 225, Mobile: 1 202 684 0559 Email: npineiro@iom.int
Tendances migratoires générales dans la région d’Amérique latine
L’Argentine est le pôle d’attraction principal de la région pour les migrants sud-américains. Le Venezuela compte également un nombre important de migrants de la région. En outre, le Chili, le Brésil et l’Uruguay se sont transformés en pays d’accueil après avoir été des pays d’origine de la migration pendant longtemps, à la fois à l’intérieur et à l’extérieur de la région. Les principaux flux de migrants à l’intérieur de la région vers ces pays proviennent du Pérou, de Colombie, de Bolivie et du Paraguay.
En revanche, l’émigration continue d’être caractéristique de pays comme la Bolivie, la Colombie, l’Equateur, le Paraguay et le Pérou, où la tendance à l’émigration est plus forte que celle des arrivées de migrants. Cependant, en raison des avancées économiques et sociales, ces pays commencent à recevoir de nouveaux flux migratoires.
L’immigration hors de la région est caractérisée par des flux depuis l’Afrique, l’Asie, l’Europe, les Etats-Unis et les Caraïbes, avec une prédominance de citoyens haïtiens, dominicains, sénégalais, chinois et bangladeshis.
Dans le même temps, le retour de ressortissants de pays de la région est une tendance stable qui découle de la crise économique et des restrictions d’entrée et de résidence dans les principales destinations extrarégionales et de l’amélioration des conditions socioéconomiques dans la région.
De la même manière, la traite et le trafic illicite de migrants continuent de toucher les pays de la région. La Mésoamérique (Mexique et Amérique centrale, y compris le Belize) est essentiellement une région d’origine migrante et de transit. Certains pays de Mésoamérique connaissent des flux de migrants retournant dans leur pays d’origine.
En outre, ces dernières années, les pays de Mésoamérique sont devenus l’un des principaux couloirs du monde pour les migrants en transit.
Bien que leur taux de croissance ait diminué par rapport aux décennies précédentes, les flux migratoires vers les pays de Mésoamérique, notamment Nicaragua-Costa Rica et Guatemala/El Salvador/Honduras-Belize, continuent d’être importants (Pour plus d’informationshttp://costarica.iom.int/en/migration_trends_in_the_region)