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Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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L’OIM lutte contre les violences sexuelles et sexistes au Honduras
Honduras - Cette semaine, l’OIM au Honduras a distribué des équipements de bureau aux 10 Bureaux municipaux pour les femmes (OMM en espagnol) et à deux Unités de la Police nationale pour l’égalité homme-femme, afin de renforcer leur capacité à répondre aux violations des droits fondamentaux à l’encontre des femmes et des filles au Honduras.
En coordination avec le FNUAP, l’OIM a établi une alliance en vue de renforcer l’Institut national hondurien pour les femmes et le Ministère de la sécurité dans la prévention et la réponse face aux violences sexuelles et sexistes.
La violence à l’encontre des femmes et des filles est une des violations principales des droits fondamentaux dans le monde. Les violences comme les violences sexuelles, les violences physiques et meurtres de femmes peuvent être considérées comme une épidémie au Honduras.
D’après les chiffres officiels, plus de 531 décès violents de femmes ont été signalés à travers le pays en 2014. Les filles et femmes de 15 à 24 ans ont été les plus touchées.
Les signalements de cas d’agressions sexuelles contre la population féminine s’élevaient à plus de 1 700 l’année dernière. Sur ce nombre, 1 214 concernaient des jeunes filles âgées de 10 à 19 ans.
Par le biais du Projet B.A. 1 « Prévention des violences contre les femmes en Amérique centrale », l’OIM encouragera la planification locale, les politiques de soins préventifs et les mécanismes d’aide aux niveaux national et régional afin de combattre toute forme de violences sexuelles et sexistes, en particulier la traite et le féminicide.
Avec le financement des gouvernements de Finlande et des Pays-Bas, le Projet B.A. 1 est mené à bien au Belize, au Costa Rica, au Salvador, au Guatemala, au Honduras, au Nicaragua et au Panama.
Au Honduras, l’OIM soutient un ensemble d’institutions de l’Etat et d’organismes locaux pour mettre en œuvre le projet, qui fait partie de la Stratégie de sécurité centraméricaine du Système d’intégration d’Amérique centrale.
L’OIM lutte contre les violences sexuelles et sexistes en faisant la promotion de programmes qui développent les compétences des autorités locales dans la mise en œuvre des plans de prévention.
« A travers ce projet, l’OIM s’attèle à renforcer l’utilisation de méthodes appropriées pour combattre les violences contre les femmes. Nous sommes résolus à promouvoir une aide globale et une protection aux victimes de traite et nous encourageons l’emploi de procédures judiciaires pour répondre aux allégations de violations des droits de l’homme à leur encontre », a expliqué Jorge Peraza, chef de mission de l’OIM au Honduras, au Guatemala et au Salvador.
Les OMM et les Unités ont reçu des ordinateurs, des imprimantes, des projecteurs multimédia, des bureaux, des chaises, de l’encre et d’autres fournitures. Cinq des bureaux sont situés dans des zones frontalières.
« Au nord du pays, les OMM ont beaucoup de contraintes en termes d’infrastructure et d’équipements. En général, ils dépendent d’autres bureaux de la Mairie et de dons directs. Grâce à ces équipements, la diffusion et le stockage des informations amélioreront le déroulement de nos opérations », a déclaré Deni López, Coordinateur régional de l’Institut national pour les femmes.
L’OIM vient en aide aux bureaux dans les villes de La Ceiba, de Teba, de Copan Ruinas, de Santa Rosa de Copan, de Choloma, de San Pedro Sula, d’Omoa (Corinto), de Tegucigalpa, d’Ocotepeque et de Trojes.
« Cet important travail a été rendu possible grâce à notre coopération étroite avec les gouvernements finlandais et néerlandais. Cette contribution aura un réel impact sur la sécurité et le bien-être des femmes et des filles honduriennes », a ajouté Likza Salazar, responsable du bureau de l’OIM au Honduras.
Pour plus d’informations, veuillez contacter
Karen Arita
OIM Honduras
Tel: + 504 2220 - 1104
Email: karita@iom.int