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Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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L'OIM lance un programme de lutte contre la xénophobie
En réponse à l'augmentation récente
d'incidents liés à la xénophobie en Afrique du
Sud, l'OIM a lancé un programme de deux ans destiné
à promouvoir la tolérance, l'intégration et la
diversité dans le pays.
Financé par le Ministère du développement
international (DFID) et mis en uvre via le Programme
d'étude des migrations forcées (FMSP) de
l'université du Witwatersrand, ce programme a
démarré avec une évaluation de base visant
à comprendre les causes des attitudes xénophobes.
Cette évaluation permettra d'entreprendre des interventions
stratégiques à moyen et à long terme.
« Alors que les migrations vers l'Afrique du Sud
augmentent, le pays est simultanément confronté
à une recrudescence des sentiments et actes de violences
xénophobes », affirme Yukiko Kumashiro, responsable du
développement du programme de l'OIM Pretoria.
« En mai 2008, nous avons assisté durant plusieurs
semaines à des violences sans précédent
à l'encontre des migrants qui ont entrainé la mort de
plus de 60 personnes et le déplacement de dizaines de
milliers d'autres », ajoute-t-elle.
Le gouvernement sud-africain a établi des abris
provisoires pour héberger des milliers de ressortissants
étrangers déplacés par les violences de mai.
Il s'apprête à fermer ces sites afin de
réintégrer complètement les migrants au sein
de leur communauté locale.
« L'évaluation de base de l'OIM, qui devrait
être achevée en novembre, jouera un rôle
important dans la compréhension des ressentiments
xénophobes à l'égard des étrangers.
C'est quelque chose qui doit être pris en compte lors du
processus de réintégration », explique Yukiko
Kumashiro.
L'OIM va également lancer une campagne de sensibilisation
pour combattre la xénophobie en octobre 2008. Elle sera
financée par le Bureau de la population, des
réfugiés et des migrations (PRM) du
Département d'Etat des États-Unis.
La campagne sera menée en partenariat avec l'entreprise
publicitaire internationale Saatchi & Saatchi ainsi qu'avec
METRO FM, la plus grande station de radio commerciale d'Afrique du
Sud et une plate-forme de la South African Broadcasting Corporation
(SABC).
L'OIM a maintenant besoin d'1,5 millions de dollars de fonds
supplémentaires pour assurer la durabilité du
programme et pour mettre en place les deux composantes restantes,
à savoir, la formation aux droits humains pour des membres
du gouvernement et des fonctionnaires, et la mise en uvre
d'un mécanisme de réponse coordonnée.
« Beaucoup de représentants de l'ordre, d'agents de
l'immigration, de membres des services sociaux et de la
santé n'ont pas une connaissance suffisante des droits des
migrants, comme précisés par la constitution et la
loi sur l'immigration sud-africaines. Par conséquent, les
migrants se voient souvent refuser des services auxquels ils ont
droit », conclut Yukiko Kumashiro.
Pour plus d'informations, veuillez contacter:
Yukiko Kumashiro
OIM Pretoria
Tél.: +27 12 342 2789
E-mail:
"mailto:ykumashiro@iom.int">ykumashiro@iom.int