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Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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- Directrice générale adjointe chargée des opérations
- Bureau du Chef de Cabinet
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Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
Ce que nous faisons
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- 2030 AGENDA
L'OIM lance un dialogue politique sur le changement climatique et le déplacement
Un an après Aila, le dernier cyclone dévastateur qui
a frappé le sud-ouest du Bangladesh, l'OIM et l'Institut du
développement de l'ONG BRAC (BDI) ont organisé le
premier dialogue politique du pays sur l'environnement, le
changement climatique et la migration.
Les responsables du gouvernement, les représentants de la
société civile et les donateurs qui ont
participé au dialogue ont également assisté
à la présentation d'une étude mandatée
par l'OIM et menée par le chercheur indépendant
Mathew Walsham, intitulée « Assessing the Evidence :
Environnement, Climate Change and Migration in Bangladesh ».
Le BDI a présenté une seconde étude qui
examine le changement climatique et l'urbanisation au
Bangladesh.
Les deux études montrent que le changement climatique et
les catastrophes naturelles telles que les cyclones ont des effets
complexes mais réels sur les tendances migratoires. Sur le
long terme, elles donnent lieu à des migrations depuis des
régions vulnérables sur le plan environnemental.
Cependant, les deux rapports mettent en évidence le manque
d'études menées sur les liens entre le changement
climatique et le déplacement de populations.
« Le Bangladesh doit apprendre davantage et être
réactif s'il veut réduire les risques et maximiser
les avantages de la migration environnementale. Bien que la
réduction des risques de catastrophe naturelle et le secours
après les catastrophes se soient considérablement
améliorés, le cyclone Aila nous a montré qu'il
reste beaucoup à faire », confie Rabab Fatima,
représentant régional de l'OIM en Asie du
sud.
Plus de quatre millions de personnes vivant dans les zones
côtières de faible élévation ont
été directement touchées par Aila le 25 mai
2009. Le cyclone a coûté la vie à 190
personnes, a provoqué une vague de destruction et a
déplacé des dizaines de milliers de personnes. Un an
après, quelque 100 000 personnes sont toujours
installées sur des digues boueuses, avec peu de nourriture,
d'eau et d'accès aux infrastructures sanitaires.
Tout de suite après le cyclone, l'OIM a fourni des kits
pour la construction d'abris et de l'aide non-alimentaire à
plus de 24 000 familles, soit 120 000 personnes, grâce au
financement du Royaume-Uni. L'Organisation a également mis
au point une matrice de suivi des déplacements.
Pour plus d'informations, veuillez contacter:
Asif Munier
OIM Dhaka
Tél. +880 2 988 9765
E-mail:
"mailto:amunier@iom.int">amunier@iom.int
ou
Farhana Chowdhury
E-mail:
"mailto:fchowdhury@iom.int">fchowdhury@iom.int