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Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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L’OIM fournit une aide humanitaire aux Vénézuéliens en Guyane
Georgetown - L’OIM, l’organisme des Nations Unies chargé des migrations, distribue des articles d’aide non alimentaire comme des produits d’hygiène personnelle (anti-moustique, savon, dentifrice), des produits ménagers (seaux, détergents, chlore) ainsi que des moustiquaires, des hamacs et des couvertures aux migrants vénézuéliens vulnérables en Guyane.
L’initiative, menée à bien dans le cadre du Plan d’action régional de l’OIM, a bénéficié à 793 migrants vénézuéliens, en particulier aux membres de la tribu autochtone Warao arrivés dans les régions de Barima Waini et de Pomerron Supanaam.
De nombreux Vénézuéliens se rendent en Guyane par bateau, où ils arrivent sans nourriture, sans abri et autres biens de première nécessité. Etant donné que la plupart d’entre eux ne parlent que le dialecte Warao, la communication s’avère difficile.
L’OIM donne des informations vitales, notamment des guides sur l’accès aux informations et sur le processus de régularisation dans la région 4 (Demerara-Mahaica) et dans la région 2. Grâce au Mémorandum d’accord signé avec le Groupe de soutien vénézuélien et avec l’aide de la Commission de la défense civile, l’OIM a pu diffuser ces informations dans les zones frontalières difficiles d’accès.
La Matrice de suivi des déplacements (DTM) de l’OIM a également été déployée pour comprendre les besoins et identifier les vulnérabilités de la population migrante, en particulier de ceux qui ont un risque plus élevé de devenir victimes de traite, de trafic illicite ou d’être des migrants irréguliers. Dans une première phase, la DTM a été mise en œuvre dans les régions 1 et 4 ainsi qu’à Georgetown. Cette phase initiale de l’étude s’est achevée le 5 septembre et sera disponible plus tard dans l’année.
En parallèle, l’OIM en Guyane organise des ateliers pour former les agents d’intervention de première ligne du Ministère de la présidence, des Forces de défense guyanaises, du Ministère des affaire autochtones, de la Force publique de Guyane, du Ministre des communautés, du Département de la migration et du Ministère de la santé publique sur des questions comme la traite des êtres humains, le trafic illicite de personnes et d’autres vulnérabilités, sur l’aide directe et les systèmes d’orientation.
D’autres organismes des Nations Unies et entités régionales ont participé aux sessions de formation, notamment l’Organisation panaméricaine de la santé, le Fonds des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF) et l’agence des Nations Unies pour les réfugiés (HCR).
Ces efforts d’aide humanitaire pour aider les migrants vénézuéliens et renforcer la capacité du gouvernement de Guyane ont été rendus possibles grâce au financement du Fonds central des Nations Unies pour les interventions d’urgence (CERF).
Pour plus d’informations, veuillez contacter Tanika Jones, OIM Guyane, email : tjones@iom.int, Tel. +592 231 6533