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Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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- 2030 AGENDA
L'OIM évalue les dégâts et lance des activités de rétablissement d'urgence
L'OIM en Haïti continue de distribuer de l'aide
non-alimentaire et de l'eau potable aux communautés
affectées par les récentes tempêtes tropicales
sur l'ensemble du territoire dans le cadre de son rôle de
coordination de l'aide aux abris d'urgence et matérielle.
À ce jour, l'OIM et ses partenaires ont aidé plus
de 15 000 familles qui ont reçu des kits d'hygiène,
des réchauds, des bâches en plastique et des
jerrycans.
Selon les dernières estimations, plus de 100 000
personnes ont été déplacées du fait des
inondations qui ont suivi le passage de la tempête tropicale
Hanna. Les abris temporaires commencent à se vider sauf aux
Gonaïves, où les équipes de l'OIM signalent que
50 000 personnes sont toujours logées dans les abris ne
répondant pas aux normes sanitaires les plus
élémentaires.
L'accès à l'eau potable et aux installations
sanitaires reste un problème préoccupant – les
déplacés n'ont pas le moindre accès à
un système d'évacuation des eaux usées ou des
déchets, et plusieurs quartiers des Gonaïves sont
toujours submergés plus de deux semaines après le
début des inondations qui ont recouvert les habitations de
la ville jusqu'aux toits.
Les eaux stagnantes dans la ville ont également
entraîné une multiplication des cas de paludisme avec
quelque 100 nouveaux cas enregistrés chaque jour ainsi qu'un
taux élevé d'infections cutanées et de
maladies diarrhéiques liées à l'eau
polluée.
Alors que le niveau des eaux commence seulement à baisser
dans un tiers de la ville, l'évaluation des
dégâts est en cours. L'OIM, en coordination avec les
autorités et ses partenaires non gouvernementaux, ont
commencé à identifier des sites d'abris
nécessitant des travaux immédiats.
Par ailleurs, plusieurs milliers de maisons auraient subi des
dégâts tels qu'elles ne peuvent pas être
réparées. En conséquence, le nombre de
personnes déplacées a long terme
s'élève à plusieurs milliers, ce qui les
expose à des risques supplémentaires alors que la
saison des ouragans dure jusqu'à la fin novembre.
L'OIM et les agences partenaires de l'ONU ont recommandé
qu'une enquête soit menée parmi les populations
déplacées afin de déterminer leurs
régions d'origine, leur désir de rentrer ou
d'être relogé, et leurs moyens de subsistance. Cette
enquête constitue la première étape dans la
phase de rétablissement d'urgence menée alors que les
opérations d'urgence se poursuivent.
« L'OIM joue un rôle de coordination indispensable
en soutenant les autorités dans leurs efforts pour recenser
le nombre et la nature des déplacements », explique
Vincent Houver, chef de mission de l'OIM à Haïti.
« Nous nous concentrons également sur les
activités de rétablissement d'urgence en encourageant
les personnes capables de retourner chez elles à le faire et
à contribuer aux efforts de nettoyage. Plusieurs quartiers
de la ville sont en effet recouverts de boue et de déchets.
Il y a fort à faire et la réponse humanitaire
internationale doit être proportionnelle aux
dégâts provoqués par les tempêtes
tropicales Fay, Gustav, Hanna et Ike. »
Des membres des communautés affectées sont
recrutés via des programmes de création d'emplois
pour effectuer des travaux intensifs et reçoivent des outils
qu'ils pourront garder. L'OIM a mis en uvre des programmes
similaires ces quatre dernières années par le biais
d'activités de stabilisation communautaire et de
prévention des conflits dans les principaux centres urbains
du pays.
L'OIM a demandé 13 millions de dollars par
l'intermédiaire de l'Appel d'urgence de l'OIM qui a
été lancé la semaine dernière. Pour
l'heure, des contributions ont été versées par
l'Agence des États-Unis pour le développement
international (Bureau de l'aide à l'étranger en cas
de catastrophe), la Direction du développement et de la
coopération, l'Agence canadienne de développement
international et le Bureau de la Coordination des Affaires
Humanitaires des Nations Unies (OCHA).
Pour plus d'informations, veuillez contacter:
Monique Van Hoof
OIM Port-au-Prince
Tél.: +509 3702 38 47
E-mail:
"mailto:mvanhoof@iom.int">mvanhoof@iom.int