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Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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- 2030 AGENDA
L’OIM évacue 1 890 Soudanais du Sud depuis Khartoum vers Juba
Cinq jours après le début de
l’évacuation aérienne des Soudanais du Sud
depuis Khartoum vers Juba, un total de 1 890 Soudanais du Sud sont
arrivés dans la capitale sud-soudanaise. Quelque 600 autres
devraient arriver aujourd’hui.
L’évacuation aérienne, qui a
débuté avec deux vols par jour, compte
désormais quatre vols par jour, transportant environ 150
passagers chacun. L’OIM prévoit d’augmenter le
nombre de vols à six par jour afin de terminer
l’évacuation d’ici les prochaines
semaines.
Les passagers, dont bon nombre étaient bloqués
dans la zone de transit de Kosti, à 300 km au sud de
Khartoum depuis plusieurs mois, sont accueillis par des
équipes de l’OIM à l’aéroport de
Juba. Après avoir été enregistrés, ils
sont transférés vers des centres de
transit.
Les premiers 1 292 rapatriés arrivés ont
été emmenés vers un centre de transit
dirigé par le HCR à Juba. Mais les infrastructures du
centre ont presque atteint leur capacité maximum.
Dans les jours qui ont suivi le début de
l’opération, l’OIM s’était
activée à identifier un centre de transit assez grand
pour loger la plupart des 12 000 rapatriés attendus. Un
certain nombre d’endroits ont été
identifiés par les autorités sud-soudanaises et
évalués par l’OIM et ses partenaires avant de
choisir un lieu situé à l’extérieur de
Juba. La zone, normalement utilisée comme infrastructure de
formation des enseignants, dispose des équipements
nécessaires pour recevoir les rapatriés.
de photos
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South Sudanese Returnees Assisted by IOM
L’OIM a installé des abris d’urgence sur le
site afin de loger les 1 000 premiers rapatriés. Elle a
également mis à disposition 1 500 kits d’abris
et tentes pour les familles. Les partenaires humanitaires de
l’OIM fournissent de l’eau potable, de la nourriture,
des soins et d’autres services. Les premiers rapatriés
ont été transférés vers le site le 17
mai.
« La majorité des rapatriés
précédemment bloqués à Kosti ont
déclaré que Juba était leur destination
finale. Mais bon nombre n’ont pas de famille ou de soutien
communautaire à Juba », déclare Vincent Houver,
chef de mission de l’OIM au Soudan du Sud.
« Cela signifie avant tout que les rapatriés qui
affluent vont sûrement rester au centre de transit
jusqu’à ce que des solutions durables soient
identifiées, notamment jusqu’à ce que des
terres leur soient attribuées pour qu’ils puissent
redémarrer leur vie. Il s’agit souvent d’un
processus long et difficile », ajoute t-il.
Dans le même temps, le 16 mai, 1 917 rapatriés de
Renk, dans l’Etat sud-soudanais du Nil supérieur, sont
arrivés au port de Juba à bord d’un bateau. Le
groupe, qui a quitté Renk il y a deux semaines, comprenait
732 personnes qui disposaient de leurs propres moyens de transport
pour atteindre leur destination finale.
Après avoir effectué des examens médicaux
à l’arrivée, l’OIM a transporté
512 rapatriés vers le site de transit géré par
le HCR, le 16 mai. Les 673 restants ont été
emmenés au nouveau centre de transit le jour
suivant.
Renk est aujourd’hui le seul point d’entrée
valable au Soudan du Sud pour les rapatriés qui voyagent par
voie terrestre depuis le Soudan. En conséquence,
d’importants groupes de rapatriés y sont restés
bloqués.
La ville, dont l’économie est paralysée
depuis la fermeture des frontières commerciales, accueille
actuellement plus de 18 000 rapatriés, dans un environnement
où la sécurité s’est brusquement
détériorée ces dernières
semaines.
D’après Vincent Houver, malgré ces
inquiétudes en matière de sécurité, les
retours spontanés sont en augmentation et
représentent environ 1 200 nouvelles arrivées chaque
semaine.
Au mois de mars, plus de 1 300 rapatriés sud-soudanais
ont été pris entre deux feux près de la ville
de Heglig et ont dû rentrer au Soudan du Sud en passant par
Renk. L’OIM les a transporté vers Malakal par la
route, puis par avion, vers leurs destinations finales.
Au cours des deux dernières semaines, l’OIM au
Soudan du Sud a fourni une aide au retour à plus de 5 000
rapatriés bloqués. L’OIM et la
communauté humanitaire estiment à 100 000 le nombre
de ressortissants sud-soudanais qui pourraient rentrer au Soudan du
Sud dans les prochains mois.
Pour plus d’informations, veuillez
contacter
Vincent Houver
OIM Juba
Tel: +211 922 406 615
Email:
"mailto:vhouver@iom.int">vhouver@iom.int