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Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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L'OIM étend le suivi des personnes fuyant le Soudan
Geneva / Juba – L'Organisation internationale pour les migrations (OIM) a activé sa Matrice de suivi des déplacements (DTM) à plusieurs points d'entrée dans les pays voisins du Soudan afin de fournir une image plus claire des besoins de milliers de personnes fuyant les affrontements dans le Soudan voisin. L'OIM répond également aux besoins des Etats membres qui demandent de l'aide pour s'assurer que leurs citoyens sont rentrés chez eux en toute sécurité.
Le suivi des flux est actuellement effectué à 16 points d'entrée entre le Soudan et le Soudan du Sud, et entre le Soudan du Sud et la République centrafricaine et l'Ethiopie. Des activités similaires débuteront aux points d'entrée le long de la frontière entre le Soudan et le Tchad.
On dénombre environ 300 000 migrants enregistrés et des dizaines de milliers de migrants non enregistrés originaires du Soudan du Sud au Soudan. Près de 4 000 personnes ont maintenant traversé vers le Soudan du Sud, dont 96 pour cent sont des Sud-Soudanais.
Le personnel de la DTM, en étroite collaboration avec les gouvernements et les partenaires humanitaires, surveille les flux transfrontaliers dans les pays du monde entier afin de suivre les besoins et les intentions des personnes en situation de déplacement. Les données générées par la DTM sont ventilées en fonction de l'âge, du sexe et des besoins en matière de santé, entre autres, et sont mises à la disposition de tous les acteurs humanitaires afin de permettre une réponse ciblée et éclairée et de fournir une aide de manière stratégique et efficace en répondant aux besoins en temps réel.
L'OIM travaille aussi rapidement que possible pour fournir une image claire des aspects de mobilité de cette urgence, mais la situation reste très volatile, changeant d'heure en heure.
Ressortissants de pays tiers
La situation des ressortissants de pays tiers pris au piège au Soudan est particulièrement préoccupante pour l'OIM. L'OIM a été contactée par des fonctionnaires consulaires de plusieurs pays qui lui demandent de les aider à rapatrier leurs ressortissants en toute sécurité et de manière ordonnée.
Le lundi 24 avril, par exemple, l'OIM a aidé deux douzaines d'étudiants kenyans qui étaient arrivés au Soudan du Sud par la route à se rendre de la frontière jusqu’à l'aéroport où ils ont été renvoyés chez eux par le gouvernement kenyan.
Le gouvernement du Tchad a demandé l'aide de l'OIM pour l'évacuation de ses ressortissants et d'autres formes de soutien logistique. Plus de 103 000 Tchadiens sont enregistrés au Soudan en 2020 (UNDESA). A l'heure actuelle, environ 300 étudiants ont demandé à être évacués de Khartoum, 50 pèlerins sont bloqués à l'aéroport et au moins 15 Tchadiens se trouvent dans des hôpitaux au Soudan et ont besoin d'une assistance spécifique pour leur retour.
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Pour plus d'informations, veuillez contacter
Paul Dillon, Porte-parole, Tél : +41 79 636 9874, pdillon@iom.int