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Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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L’OIM et l’Uruguay signent un Mémorandum d’accord visant à renforcer la politique migratoire
Uruguay - L’OIM a reçu 1,024 million de dollars canadiens de la part du gouvernement canadien, par l’intermédiaire de son Fonds pour la paix et la sécurité mondiales (FPSM), afin de soutenir les efforts en cours visant à réduire l’incidence de violences sexuelles et sexistes en République centrafricaine (RCA), en se centrant plus particulièrement sur les femmes et les filles victimes du conflit, y compris les rapatriées.
Un an et demi après le début de la crise en RCA, le viol et d’autres formes de violence restent l’une des principales questions de sécurité pour les femmes et les filles prises dans le récent conflit qui, à son apogée, a provoqué le déplacement d’environ 900 000 personnes qui continuent de rechercher une protection et une aide à travers le pays.
Par le biais de sa Matrice de suivi des déplacements (DTM), l’OIM a observé et signalé plusieurs cas de violences sexuelles ciblant les femmes retournant dans leur lieu d’origine, confirmant les informations rapportées par les ONG, et réaffirmant que les motifs du déplacement continu sont directement liés aux questions de sécurité dans les zones de retour. Ces questions sont notamment soulevées en raison de la réponse inadéquate apportée par les forces de police aux survivantes de violences sexuelles et de l’inexistence d’un ordre public dans les quartiers de retour.
Au niveau national, le projet financé par le Canada sera menée en coopération étroite avec les partenaires tels que l’Académie de formation de la police, en vue d’identifier et de former les officiers de police (la fameuse « formation de formateurs ») sur la gestion adéquate des cas de violences à l’encontre des femmes. Un manuel intuitif sur la gestion des cas de violences sexuelles basé sur les normes nationales et internationales, sera élaboré afin de s’assurer que les compétences et les connaissances nécessaires puissent être facilement diffusées et transmises par les officiers formés à leurs pairs.
« Ce projet est le premier du genre pour l’OIM en RCA. Il apportera des contributions directes et concrètes indispensables à la prévention active des violences sexuelles et sexistes au sein des déplacées internes et des populations d’accueil », a déclaré Torsten Haschenz, chef de mission de l’OIM en RCA.
Par l’intermédiaire de ses équipes de mobilisation communautaire, l’OIM collaborera avec les organisations locales entre autres à Bangui, afin d’identifier et de former les intervenants communautaires et de les sensibiliser aux droits des femmes et à la violence sexuelle et sexiste.
À travers les intervenants communautaires, le projet lancera en outre une campagne de sensibilisation communautaire et des sessions de sensibilisation à la violence sexuelle et sexiste et encouragera l’utilisation d’un mécanisme de renvoi durable entre les membres de la communauté, les fournisseurs de services concernés et la police, afin de mieux répondre aux besoins des survivantes.
L’OIM répondra également aux problèmes de sécurité communautaire en installation des lampes de rue solaires dans les zones à risques et aidera les familles plus vulnérables, telles que les familles dirigées par une femme qui sont particulièrement exposées au risque de violence sexuelle, en leur fournissant des kits de sécurité comprenant des lampes solaires et des verrous qui renforceront leur sécurité physique.
Pour plus d’informations, veuillez contacter Nina Stuurman, Tel: +236- 755-696-36, Email: nstuurman@iom.int, ou Torsten Haschenz, Tel: +236-721-876-39 Email: thaschenz@iom.int, site internet : www.CARresponse.iom.int