-
Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
Structure
Structure
- Structure organisationnelle
- Directrice générale
- Directrice générale adjointe chargée de la gestion et des réformes
- Directrice générale adjointe chargée des opérations
- Bureau du Chef de Cabinet
- Bureau des partenariats, de la sensibilisation et de la communication
- Bureau de la stratégie et de la performance institutionnelle
-
Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
Ce que nous faisons
Ce que nous faisons
Partenariats
Partenariats
- Où travaillons-nous
-
Agir
Agir
Travailler avec nous
Travailler avec nous
Engagez-vous
Engagez-vous
- Données et recherche
- 2030 AGENDA
L’OIM et les partenaires du gouvernement forment les journalistes colombiens à raconter la paix
Colombie - L’OIM en Colombie et les partenaires du gouvernement ont formé plus de 150 journalistes colombiens sur l’importance des pratiques journalistiques efficaces dans un environnement post-conflit.
La série d’ateliers intitulée Comment raconter la paix, la consolidation de la paix, la mémoire historique et la réconciliation a eu lieu dans cinq villes du pays : Medellín, Pereira, Cali, Carthagène et Montería.
D’après Marta Ruiz, responsable de l’atelier et rédactrice du magazine politique influent Semana, « les sessions ont permis d’analyser les problèmes auxquels se trouvent confrontés les journalistes dans un contexte post-conflit, notamment toutes les difficultés que la situation implique et toutes les questions nouvelles et pertinentes que chaque journaliste doit se poser avant d’écrire. Les ateliers ont aussi servi d’espace de dialogue, de créativité et de considération pour les journalistes en tant que reporters. »
Les ateliers avaient pour but de répondre au besoin des journalistes du pays d’être formés, pour jouer un rôle dans la phase post-conflit, suite à la démobilisation et à la réintégration d’hommes et de femmes qui étaient enrôlés dans des groupes armés illégaux.
« En tant que journalistes, il est important que nous changions notre mentalité et que nous réfléchissions aux manières de raconter la paix dans un contexte post-conflit. Pendant l’atelier, nous avons eu l’opportunité d’analyser comment parler de ces processus et comment informer ceux qui nous regardent ou qui nous lisent », a déclaré Ricardo Gaviria de TeleAntioquia Noticias, participant à l’atelier à Medellín.
L’expert péruvien Javier Ciurlizza, Directeur du groupe de crise internationale, d’Amérique latine et des Caraïbes, faisait partie des formateurs. Il a été le Directeur exécutif de la Commission sur la vérité et la réconciliation au Pérou entre 2001 et 2003, et était chargé d’informer les journalistes sur la justice de transition et sur l’importance de la vérité et de la mémoire dans un contexte similaire.
« Participer à l’atelier permet de comprendre ce qu’il nous est arrivé en tant que société. L’atelier aide également à se représenter le concept de mémoire historique et à comprendre comment les hommes et les femmes qui ont quitté la guerre vont nous aider à construire cette mémoire historique », a ajouté Catalina Puerta, journaliste qui a participé à l’atelier.
Les ateliers Comment raconter la paix sont l’initiative de l’Agence colombienne pour la réintégration (ACR), du Bureau du procureur et du Centre national pour la mémoire historique. Ces trois entités sont chargées de mettre en œuvre la loi sur la réintégration qui fournit aux anciens combattants un traitement psychologique et une aide au retour à l’école ou une formation professionnelle. En échange, ils acceptent de dire la vérité sur leur implication dans les groupes armés, s’engagent à ne pas récidiver, à demander pardon et à faire des travaux d’intérêt général.
Avec le soutien d’USAID, l’OIM a financé les ateliers dans le cadre de sa stratégie de communication Paso a Paso, qui vise à renforcer la capacité des institutions du gouvernement chargées du processus de réintégration à encourager les personnes démobilisées dans le processus de réintégration, en recevant les communautés et les médias afin de mieux comprendre les projets du gouvernement et de générer des processus qui facilitent la paix et la réconciliation nationale.
Pour plus d’informations, veuillez contacter
Jadin Vergara
OIM Colombie
Email: jvergara@iom.int
Tel: +57.1.639.7777 Ext. 1715