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Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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- 2030 AGENDA
L’OIM et le Ministère moldave s’associent dans une étude sur la santé des migrants
L’OIM et le Ministère de la santé de la
République de Moldova ont récemment publié les
résultats d’une étude commune intitulée
"La santé des migrants moldaves – impact sur le
bien-être socioéconomique".
L’étude menée entre le mois de janvier et de
mars 2010 a reçu les témoignages de 2 300 personnes
dans 12 régions du pays et a examiné les facteurs qui
contribuaient à la santé des migrants tels que
l’accès aux services de soins au Moldova et à
l‘étranger et les problèmes de santé
accentués par la migration tels que la transmission du
VIH/SIDA et des maladies sexuellement transmissibles.
L’étude a été entreprise en vue
d’informer sur l’élaboration de politiques et
activités étatiques pertinentes concernant la
santé des migrants et le système de santé au
Moldova. Elle ciblait trois groupes distincts de migrants, à
savoir les migrants moldaves, les membres des familles de migrants
qui reçoivent des rapatriements de fonds et ceux qui
n’en reçoivent pas.
connexe
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target="_blank" title="">Moldovan Migrants' Health: Impact of the
Socio-Economic Welfare
L’étude a révélé une
"négligence" générale des répondants
concernant la santé, en particulier chez les migrants qui
précisent qu’ils reportent sans cesse leurs visites
médicales jusqu’à leur retour au Moldova et
qu’ils font appel aux services de soins dans le pays
d’accueil qu’en cas d’urgence en raison du
coût élevé des services médicaux
à l’étranger et de la pression sur le lieu de
travail (impossibilité de prendre congé, peur de
perdre leur emploi, etc.).
D’après cette étude, les migrants
étaient presque aussi susceptibles de faire appel à
des services médicaux fournis par l’Etat que le reste
de la population et le coût de couverture médicale
pour les familles touchées par la migration était
environ 15% plus faible que la population dans son ensemble. Ces
données reflètent en partie l’âge moyen
des migrants et l’absence d’admissibilité aux
programmes de couverture, et reflètent également le
scepticisme général concernant la couverture
médicale, d’après les migrants et leurs
familles.
L’étude a aussi révélé que les
migrants associent la migration à certains risques
inhérents pour leur santé et leur bien-être
psychosocial. Ces risques sont attribués au processus
d’émigration, notamment à la séparation
familiale, aux conditions de vie et de travail dans le pays
d’accueil et au manque fréquent d’informations
juridiques.
Les conditions qui comporteraient des risques potentiels pour la
santé incluent : l’environnement de vie dans le pays
d’accueil (près de 16% des migrants vivent dans des
habitations improvisées, des caravanes, des caves, des
constructions inachevées, etc.), les horaires de travail
(six migrants sur disent déclarent travailler plus de huit
heures par jour et huit sur dix plus de cinq jours par semaine), et
les conditions de travail (niveau de décibels
élevé, air pollué et travail en hauteur sans
équipements adaptés). D’après le
rapport, le nombre d’accidents du travail des Moldaves
travaillant à l’étranger est dix fois plus
élevée qu’un national sur le marché du
travail).
Selon l’étude, les migrants étaient
également fortement exposés au risque de transmission
du VIH et de MST compte tenu du nombre élevé de
relations sexuelles non protégées.
Cette étude a été menée dans le
cadre du projet de l’OIM intitulé "Gérer
l’impact de la migration sur le système de
santé du Moldova" grâce au financement du Fonds 1035
de l’OIM et grâce au soutien financier et
méthodologique de l’Organisation mondiale de la
Santé et d’ONUSIDA.
Une copie du rapport peut être consultée sur le
site de l’OIM au Moldova:
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"http://www.iom.md/index.php/en/media-center/146-new-publication-migrants-health-study"
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Pour plus d’informations, veuillez contacter:
Simion Terzioglo
IOM Moldova
Tel: + 373 22/ 23 29 40/41 Ext. 104
E-mail:
"mailto:sterzioglo@iom.int">sterzioglo@iom.int