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Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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L’OIM en Guinée soutient le rétablissement psychosocial et le redressement socioéconomique des survivants d’Ebola
Guinée - L’OIM lance un programme visant à octroyer des subventions en espèces aux survivants d’Ebola dans le cadre de projets communautaires à Boke, au nord-ouest du pays.
Le projet pilote, qui soutient le gouvernement guinéen en matière de soins psychosociaux et de redressement socioéconomique pour les survivants d’Ebola, verra également la tenue d’un premier atelier de formation à la médiation et à la gestion des conflits communautaires, destiné aux survivants et aux communautés dans cette région.
La formation permettra aux bénéficiaires d’organiser des dialogues communautaires dans leurs villages au cours desquels les survivants et non-survivants feront part de leurs difficultés personnelles et collectives relatives à Ebola. Ces discussions serviront également de plateforme de dialogue communautaire pour le redressement socioéconomique dans la phase post-Ebola.
« Ces activités ont deux principaux objectifs : le premier est d’aider les communautés dans leur reprise socioéconomique suite aux conséquences dévastatrices de l’épidémie, et le deuxième est de permettre aux communautés de survivants divisées par le virus de reprendre le dialogue et de lutter contre la stigmatisation », a déclaré Kabla Amihere, chef de mission de l’OIM en Guinée.
« En faisant renaître les dynamiques de « l’arbre à palabre », le rassemblement de la communauté leur permet de répondre aux problèmes du village, en particulier ceux causés par les conséquences de l’épidémie », a t-il poursuivi.
Les personnes formées sensibiliseront leurs communautés à la gestion de conflits et mettront en place une communauté qui puisse aider les communautés dans leur ensemble à se relever.
« L’OIM fournira également un soutien financier aux micro-projets de redressement socioéconomique conçus par les communautés de Tamaransy et de Katongoro. Ce financement sera octroyé sous forme de subventions individuelles, également attribuées par l’OIM aux survivants dans la zone », a déclaré Kabla Amihere.
Cette mesure entre dans le cadre de la phase de relèvement post-Ebola, menée à bien par le gouvernement de Guinée et soutenue par l’OMS, l’OIM et d’autres partenaires, qui comprend d’autres activités de renforcement des systèmes de santé et de surveillance épidémiologique, en particulier dans les régions frontalières sensibles.
Avec le soutien de l’USAID (OFDA), de CDC et des gouvernements japonais et belge, l’OIM en Guinée fournit un soutien logistique au gouvernement guinéen par le biais du Programme national/préfectoral de coordination d’urgence.
L’OIM met également en œuvre des activités visant à renforcer les mécanismes de contrôle aux frontières par l’intermédiaire du Programme pour la santé, les frontières et la gestion de la mobilité et grâce à d’autres activités de mobilisation communautaire dans les villages clés afin de surveiller l’épidémie, de détecter rapidement Ebola ainsi que d’autres maladies épidémiques potentielles dans les zones frontalières et maritimes.
D’après les dernières informations de l’entité nationale de coordination, 3 804 cas d’Ebola confirmés, probables et suspectés on été recensés en Guinée depuis le début de l’épidémie, qui a fait 2 536 morts. Ces chiffres donnent lieu à un taux de mortalité estimé à 66,7%.
Pour plus d’informations, veuillez contacter Lola Simonet, OIM Guinée, Tel.: +224 625 25 94 94. Email: lsimonet@iom.int