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Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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L’OIM en Ethiopie reloge 57 000 réfugiés depuis la frontière sud-soudanaise
Éthiopie - L’OIM en Ethiopie a déplacé quelque 57 000 réfugiés sud-soudanais depuis la frontière sud-soudanaise vers des camps en Ethiopie depuis l’éclatement de la violence entre le gouvernement sud-soudanais et les forces de l’opposition en décembre 2013.
Dans la province éthiopienne de Gambella, les bateaux de l’OIM ont déplacé près de 450 personnes par jour depuis Aboko-Tergol. Les convois routiers ont permis de déplacer jusqu’à 2 000 personnes par jour depuis Pagak. Parmi les différentes destinations figuraient les camps de réfugiés de Fugnido, de Leitchor et de Kule (anciennement Tierkidi), où les réfugiés reçoivent un abri et de la nourriture.
Les camps atteignent rapidement leur capacité maximale. Leitchor, qui est situé dans une zone inondable, est confronté à d’autres problèmes et les organisations humanitaires et les autorités éthiopiennes s’activent pour identifier de nouveaux sites, pendant que les demandeurs d’asile continuent d’affluer dans le pays en passant par Pagak et Akobo-Tergol.
La plupart des réfugiés sont des femmes et des enfants. Bon nombre ont dû marcher pendant sept à dix jours pour atteindre la frontière, vivant de fruits sauvages, et sont totalement démunis. De nombreuses familles ont également été séparées dans le chaos.
Ojulu Obutha, 36 ans, chef de communauté dans la ville sud-soudanaise d’Akobo, a été séparé de sa femme et de ses enfants lorsqu’ils ont traversé la frontière vers Akobo-Tergol le 18 décembre. Il avait attendu en espérant que la situation se calme. Mais la sécurité s’est détériorée et il a décidé de les suivre jusqu’à Gambella.
« Il y avait des affrontements à Denaka et lorsqu’ils (les rebelles) sont revenus, ils ont commencé à piller la ville d’Akobo… Un ami et moi-même étions les derniers Agnuaks à partir », confie-t-il.
Il espère être bientôt réuni avec sa femme. « « Quand les affrontements ont commencé, beaucoup de femmes ont traversé la frontière vers Akobo-Tergol à pied. Je ne sais pas où elle se trouve mais j’espère qu’elle m’attend à Fugnido », a-t-il déclaré après s’être enregistré auprès de l’OIM, un jour avant de partir pour être relogé ailleurs par bateau.
Pour plus d’informations, veuillez contacter
Alemayehu Seife-Selassie
OIM Addis Abeba
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