-
Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
Structure
Structure
- Structure organisationnelle
- Directrice générale
- Directrice générale adjointe chargée de la gestion et des réformes
- Directrice générale adjointe chargée des opérations
- Bureau du Chef de Cabinet
- Bureau des partenariats, de la sensibilisation et de la communication
- Bureau de la stratégie et de la performance institutionnelle
-
Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
Ce que nous faisons
Ce que nous faisons
Partenariats
Partenariats
- Où travaillons-nous
-
Agir
Agir
Travailler avec nous
Travailler avec nous
Engagez-vous
Engagez-vous
- Données et recherche
- 2030 AGENDA
L’OIM effectue l’enregistrement biométrique des déplacés dans les sites de protection des civils à Juba
Soudan du Sud - Depuis le début de la crise au Soudan su Sud en 2013, plus de 1,1 million de personnes ont été déplacées de leur lieu d’origine. Plus de 95 000 d’entre eux ont trouvé refuge dans les sites de protection des civils (PoC) à travers le pays, où ils reçoivent de l’aide humanitaire.
L’équipe de suivi et de contrôle des déplacements de l’OIM participe au contrôle et à l’enregistrement des déplacés internes au niveau national depuis le Nouvel An. Le 6 août, elle a lancé une nouvelle opération d’enregistrement biométrique pour les déplacés internes réfugiés dans les PoC de Juba.
L’OIM et ses partenaires recueillent désormais des statistiques dans plus de 80 des 240 lieux de déplacement connus, mais l’Organisation ne cible que les PoC ayant recours à l’enregistrement biométrique. Malgré les problèmes que posent la saison des pluies et les difficultés d’accès aux routes, elle travaille avec plusieurs centres de référence pour recueillir des informations utiles en utilisant la technologie des Smartphones et fait participer les partenaires à la collecte des données.
« La DTM est un outil qui fournit un aperçu détaillé des lieux, des vulnérabilités et des besoins évolutifs des populations touchées par une crise. A mesure que les informations sont recueillies et analysées, elles sont transmises aux acteurs humanitaires sur le terrain pour aider à déterminer la réponse nécessaire », déclare Ester Ruiz de Azua, coordinatrice de la DTM de l’OIM au Soudan du Sud.
A Juba, l’enregistrement des chefs de famille a débuté en mai sur le PoC de la Maison des Nations Unies. Plus récemment, l’enregistrement biométrique a été déployé pour tous les membres des familles. A ce jour, 5 112 personnes ont été enregistrées de manière biométrique puis relogées sur le PoC 3 de la Maison des Nations Unies, où elles peuvent bénéficier d’une meilleure aide.
Une autre opération d’enregistrement de ressortissants étrangers a pris fin samedi 3 août. Quelque 578 ressortissants éthiopiens, érythréens, somaliens et soudanais ont donné leurs empreintes digitales et reçu de nouvelles cartes d’enregistrement.
Le nombre actuel de déplacés internes à Juba est estimé à plus de 300 000 personnes, que l’OIM prévoit d’enregistrer dans la base de données biométrique d’ici fin août.
Pour plus d’informations, veuillez contacter
l’Unité de soutien de l’OIM au Soudan du Sud
Email : ssudanpsu@iom.int