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Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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L’OIM démarre une nouvelle collaboration pour promouvoir l’utilisation des technologies dans la lutte contre la traite
Genève - L’OIM a récemment rejoint une coalition d’entreprises de technologie, d’organisations de la société civile et d’organismes des Nations Unies pour lancer « Tech Against Trafficking », un collectif visant à soutenir l’éradication de la traite d’êtres humains.
Les membres fondateurs British Telecom (BT), Micorsoft et Nokia font avancer le dialogue suscité lors d’un événement en juin 2017 sur « le rôle de la technologie numérique dans la lutte contre l'esclavage moderne », afin d’explorer officiellement comment la technologie peut être mieux utilisée pour mettre fin à la traite d’êtres humains. « Tech Against Trafficking » s’appuiera sur le potentiel de certaines de ces entreprises et l’amplifiera.
« Nous devons collaborer plus étroitement en tant qu’industrie et unir nos forces avec les experts dans la lutte contre l’éradication de la traite », a déclaré Laura Okkonen, responsable du Département des Droits de l’homme chez Nokia. « Ainsi, nous maximiserons l’impact positif de la technologie tout en continuant à favoriser un dialogue ouvert et transparent au sein de la coalition et avec nos autres partenaires.
A travers le monde, plus de 40 millions de personnes vivent dans des situations d’esclavage moderne en tant que victimes de traite et de ses formes d’exploitation associées. Les entreprises de technologies numériques d’information et de communication offrent des possibilités de créer un changement dans l’effort visant à éradiquer la traite d’êtres humains. Dans un récent exemple, une entreprise de technologie a réussi à suivre un navire au large de la Papouasie Nouvelle-Guinée qui transportait des victimes. Cette action, menée en collaboration avec des journalistes d’investigation d’Associated Press, a permis de libérer 2 000 personnes.
« Les trafiquants sont adeptes des nouvelles technologies de l’information et de la communication pour exploiter les personnes », a déclaré Anh Nguyen, responsable de la Division d’aide et de protection des migrants à Genève. « Nous devons être créatifs : les avancées technologiques peuvent également être utilisées pour aider à combattre la traite et mieux identifier et protéger les victimes. L’OIM est donc ravie que de grandes entreprises de technologie unissent leurs forces et nous nous réjouissons de contribuer à leurs efforts. »
En 2018, « Tech Against Trafficking » s’attèlera à cartographier et analyser le paysage existant des initiatives technologiques mises en place pour lutter contre la traite. Les principales conclusions seront partagées publiquement d’ici la fin de l’année et aideront la coalition à élaborer une stratégie sur trois ans. Les domaines potentiellement ciblés sont les applications cloud et mobile ; le matériel informatique de base ; les numéros d’assistance nationaux ; les outils de données ; et les outils de transparence des chaines d’approvisionnement, qui aideront tous les membres de la coalition à sensibiliser à la traite d’êtres humains et à orienter les interventions.
L’OIM est également membre de l’Initiative Responsible and Ethical Private Sector Coalition against Trafficking Initiative (RESPECT), qui réunit des leaders d’opinion, des professionnels et des responsables politiques afin d’identifier des solutions aux défis des secteurs public et privé concernant la traite d’êtres humains.
Pour plus d’informations, veuillez contacter Mathieu Luciano, siège de l’OIM, Tel : +41 22 717 94 69, Email : mluciano@iom.int