-
Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
Structure
Structure
- Structure organisationnelle
- Directrice générale
- Directrice générale adjointe chargée de la gestion et des réformes
- Directrice générale adjointe chargée des opérations
- Bureau du Chef de Cabinet
- Bureau des partenariats, de la sensibilisation et de la communication
- Bureau de la stratégie et de la performance institutionnelle
-
Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
Ce que nous faisons
Ce que nous faisons
Partenariats
Partenariats
- Où travaillons-nous
-
Agir
Agir
Travailler avec nous
Travailler avec nous
Engagez-vous
Engagez-vous
- Données et recherche
- 2030 AGENDA
L’OIM contribue aux consultations nationales en vue du Pacte mondial sur la migration au Ghana
Accra – En collaboration avec l’OIM, l’organisme des Nations Unies chargé des migrations, le Ministère de l’intérieur du Ghana a organisé, le 15 septembre, une consultation nationale multipartite d’une journée en vue de soutenir la contribution du Ghana au Pacte mondial pour des migrations sûres, ordonnées et régulières.
La consultation nationale, qui fait partie des consultations plus larges sur l’élaboration du Pacte, était l’occasion pour les participants des ministères et départements gouvernementaux, des organismes, du secteur privé, des organisations de la société civile, du milieu universitaire et des médias de partager leur expérience spécifique et d’identifier des solutions pour faire avancer les questions de migrations sûres, ordonnées et régulières.
Les domaines et recommandations prioritaires sont l’amélioration de la coordination, de l’éducation et des opportunités d’emploi, le renforcement des capacités des parties prenantes, les campagnes de sensibilisation, l’exploitation du potentiel de développement de la diaspora en facilitant l’envoi de rapatriements de fonds et les possibilités d’investissement au Ghana, le renforcement de la collaboration avec le secteur privé et l’ouverture de davantage de voies régulières de migration pour les études et l’emploi.
Henry Quartey, Ministre adjoint de l’intérieur, a souligné la nécessité d’émettre des recommandations : « dans vos conclusions, je souhaite que vous soyez guidés par les défis de cette nation résultant des dynamiques migratoires complexes dans le pays. Les recommandations de cette réunion doivent véritablement refléter les priorités nationales et la réalité en matière de gestion des migrations. »
« Les consultations nationales du Pacte sont l’occasion de renforcer la contribution des migrants au développement. Il est important que cette consultation, qui passe d’une approche gouvernementale globale à une approche communautaire, ait un impact sur la vie des jeunes hommes et femmes ghanéens qui décident de migrer de manière risquée, désordonnée et irrégulière. C’est pour les sans-voix que nous organisons cette réunion aujourd’hui », a déclaré Sylvia Ekra-Lopez, chef de mission de l’OIM au Ghana.
Yahya Danjuma, de la Sahara Hustlers Association, un groupe formé par un rapatrié pour sensibiliser les migrants sur les dangers de la migration irrégulière et de la traite d’êtres humains, a expliqué, lors d’un débat, les moteurs de la migration irrégulière : « Nous entreprenons de dangereux périples, non pas parce que nous ne connaissons pas les dangers mais parce que nous voulons améliorer nos vies. Si nous restons ici, nous avons peu de chance de trouver un emploi décent. La meilleure solution est de partir », a déclaré Yahya Danjuma.
Le Pacte mondial sur la migration devrait être adopté par les Etats membres lors d’une conférence intergouvernementale sur la migration internationale en 2018. Les objectifs du Pacte s’alignent à la cible 10.7 (Faciliter la migration et la mobilité de façon ordonnée, sans danger, régulière et responsable) du Programme de développement durable à l’horizon 2030. Les objectifs clés sont de contribuer à une gouvernance mondiale des migrations et à un cadre international global de coopération sur la migration et la mobilité humaine.
L’OIM continuera d’assurer le suivi avec les participants à mesure que les contributions du Ghana seront finalisées pour les inclure dans le Pacte.
L’événement a été financé par le projet d’initiative pour la protection et la réintégration des migrants au Ghana, qui est financé par le Fonds fiduciaire d’urgence de l’Union européenne en faveur de l’Afrique.
Pour plus d’informations, veuillez contacter Eric Kwame Akomanyi, OIM Ghana, Tel : +233 20 5549 243 ou +233 302 742 930 ext. 240, Email : eakomanyi@iom.int