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Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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L’OIM appelle à prendre des mesures fermes pour lutter contre la traite et l’exploitation sexuelle des mineurs à Mombasa
Kenya - La police kenyane a été appelée à appliquer la loi contre la traite et à traquer et poursuivre les trafiquants dans le comté de Mombasa, suite à la recrudescence du nombre de cas de violences, de traite et d’exploitation sexuelle d’enfants.
Ce sont les recommandations clés de l’atelier de formation de deux jours organisé par le FNUAP, l’UNICEF et CRADLE en vue de sensibiliser les différents acteurs à Mombassa sur la loi contre la traite et celle contre les abus sexuels, entrées en vigueur en 2010.
Des représentants de la police, d’ONG, du Ministère de la santé, de la société civile et de l’Autorité de régulation du tourisme se sont réunis à Malindi du 24 au 26 juin 2014. L’atelier a permis de réaliser que très peu d’enquêtes ont été menées sur l’exploitation sexuelle de mineurs – une pratique pourtant courante - par les touristes sur la côte kenyane. Les participants ont appelé à poursuivre les responsables gouvernementaux soupçonnés de complicité de traite.
« Des enfants d’à peine 12 ans sont victimes d’exploitation sexuelle », a déclaré Sewe Malamba, représentante d’USAID APHIA Plus. « Selon certains rapports, des véhicules transportant du « khat » en Somalie reviennent au Kenya avec de jeunes Somaliennes qui finissent souvent dans des maisons closes dans les comtés de Mombasa et d’Eastleigh. »
« La pauvreté à Mombasa et dans le reste du pays sert d’incubateur à la prolifération du tourisme sexuel des enfants », a déclaré Esther E. Kasiva, conseiller de Pahali Pa Usalama. « Les enfants issus de familles pauvres, à qui on promet une vie meilleure, sont des cibles faciles.»
Les participants ont aussi appelé à mettre en place une formation spécialisée pour les responsables de l’application des lois en se centrant plus particulièrement sur les manières d’identifier les crimes de traite et d’y répondre.
Malindi était l’endroit idéal pour débattre du problème, car la côte kenyane est connue pour être le noyau de la traite. De nombreux cas de violences sexuelles, de traite et d’exploitation sexuelle d’enfants y ont été découverts. En juin 2012, le Département d’Etat américain a placé le Kenya en catégorie 2 sur la Watch List (liste de pays à surveiller) de son rapport annuel sur la traite des personnes, car le pays ne montrait aucune amélioration dans ses efforts de lutte contre le phénomène. Le rapport fait état d’efforts gouvernementaux mal coordonnées, qui créent un environnement favorable à la traite.
Pour plus d’informations, veuillez contacter le
Dr. Angeline Wambanda
coordinatrice nationale de la promotion de la santé des migrants
Tel: 0716734129
Email: awambanda@iom.int