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Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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- 2030 AGENDA
L'OIM aide les migrants guatémaltèques de retour des Etats-Unis et du Mexique
L'agence américaine pour le développement
international (USAID) et l'OIM ont lancé, aujourd'hui, un
projet de deux ans pour les rapatriés
guatémaltèques (GRP) afin de fournir une aide
d'urgence aux migrants guatémaltèques de retour des
Etats-Unis par avion et du Mexique par la route.
Les rapatriés guatémaltèques sont
confrontés à des obstacles considérables
à la réintégration, notamment des violations
des droits de l'homme, des opportunités d'emploi
limitées, des difficultés d'accès aux
programmes d'éducation officiels, une connaissance
limitée de l'espagnol, la discrimination dans les
communautés d'origine, un accès restreint aux
services sociaux et au crédit, des problèmes
psychosociaux associés au retour forcé, et un manque
d'informations sur leurs droits.
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target="_blank" title="">Encuesta sobre Remesas 2010,
Protección de la Niñez y Adolescencia
Le nouveau projet OIM-USAID étendra les services de base
actuellement fournis à ceux qui arrivent par avion à
l'aéroport de Fuerza Area et comprendra désormais une
aide pour ceux qui rentrent du Mexique en passant par la
frontière terrestre de San Marcos.
L'aide inclut la fourniture de kits d'hygiène, d'un
soutien psychosocial, de conseils juridiques et de moyens de
transport vers les communautés d'origine, ainsi qu'une
réintégration socioéconomique efficace par le
biais de la formation et du placement professionnels par le Centre
de renvoi et d'opportunités du GRP à Guatemala City,
la capitale.
Le projet sera mené en collaboration avec des entreprises
au Guatemala qui souhaitent embaucher des rapatriés,
profitant ainsi de leurs compétences et de leur
disponibilité, tout en aidant à leur
réintégration.
Ce nouveau projet comprend également des partenariats
entre secteurs public et secteur privé qui
développeront et renforceront les politiques migratoires
nationales et les systèmes de gestion des données
migratoires ; et qui encourageront, identifieront et diffuseront
les meilleures pratiques.
D'après Delbert Field, chef de mission de l'OIM au
Guatemala, « la stratégie du secteur privé de
l'OIM est centré sur la réintégration
socioéconomique des migrants vulnérables en
établissant des alliances dans le secteur privé et
des projets de responsabilité sociale des entreprises.
»
« Cette stratégie permettra à l'OIM de
mettre en uvre des projets locaux de développement et
de réintégration durables pour les migrants de
main-d'uvre et les personnes rapatriés de force, par
le biais de projets avec le secteur privé et en
élargissant les possibilités de collecte de fonds
», explique-t-il.
Depuis 2004, le Guatemala a vu croître le nombre annuel de
rapatriés. En 2010, le Directorat général des
Migrations a enregistré un total de 29 095 retours par avion
depuis les Etats-Unis et 28 090 par la route, depuis le
Mexique.
L'étude de l'OIM 2010, intitulée Rapatriements de
fonds : Protéger les enfants et les adolescents, produite
conjointement avec l'UNICEF, a révélé que
65,7% des Guatémaltèques interrogés avaient
été forcés au retour, dont 42,5% (53,1% de
femmes, 46,9% d'hommes et 1,7% de mineurs) ont
déclaré avoir l'intention de retourner vers le nord
dans les douze prochains mois.
Les entretiens avec des migrants qui sont récemment
rentrés au pays volontairement ont
révélé que seuls 7,1% songeraient à
migrer de nouveau. L'étude de l'OIM a confirmé que la
nécessité de rechercher des opportunités
d'emploi était le facteur principal pour 86,7% du 1,6
million de migrants guatémaltèques vivant à
l'étranger, dont 97% aux Etats-Unis.
Le GRP permettra par ailleurs d'identifier et de consolider un
réseau de services de soutien et d'opportunités pour
les Guatémaltèques rapatriés dans leurs
communautés d'origine.
Un exemplaire de
"/jahia/webdav/shared/shared/mainsite/media/docs/reports/Guatemala-2010-migrant-remittance-survey.pdf"
onclick="javascript: pageTracker._trackPageview('/pubdocs');"
target="_blank" title="">l'étude de l'OIM sur les
rapatriements de fonds est disponible en espagnol sur
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title="">http://www.iom.int.
Pour plus d'informations, veuillez contactez:
André Lascoutx
OIM Guatemala
Tel: + 502.23.14.00.00
E-mail:
"mailto:alascoutx@iom.int">alascoutx@iom.int