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Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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L’OIM accueille le dialogue sur l’accès des migrants et des communautés d’accueil à la santé
Sud-africaine – Le bureau de l’OIM en Afrique du Sud, en partenariat avec le Centre africain des migrations et de la société de l’Université Wits, et avec le soutien de l’Agence des Etats-Unis pour le développement international (USAID) et le Plan d’urgence du Président des Etats-Unis pour la lutte contre le sida (PEPFAR), accueilleront un dialogue national en vue de discuter des progrès accomplis dans le domaine de la de santé et du bien-être des migrants, des populations mobiles et des communautés touchées par la migration en Afrique du Sud.
Le dialogue, qui aura lieu à Prétoria, le 23 avril 2013, passera en revue les recommandations formulées lors d’une consultation nationale en 2010, examinant ce qui a été mis en place, les difficultés rencontrées et certains des enseignements tirés.
La consultation de 2010 recommandait notamment un examen des cadres politiques et législatifs relatifs à la santé qui existent actuellement, la diffusion des pratiques exemplaires sur la mise en place de services de santé respectueux des migrants, le renforcement des partenariats et l’élaboration de plans d’action pour répondre aux questions émergentes ayant une incidence sur la migration et la santé. Celles-ci comprennent la traite des êtres humains, les mineurs non accompagnés, la violence sexuelle et sexiste et la collaboration transfrontalière.
« La santé des migrants et des communautés d’accueil et d’origine est aujourd’hui une question de santé primordiale dans le monde en raison de l’augmentation du nombre de personnes qui se déplacent. La réponse aux besoins sanitaires des migrants permet non seulement d’améliorer leur santé, mais de lutter contre la stigmatisation, de se pencher sur les implications en matière de coûts sociaux qui y sont liées, et de mieux faire comprendre que la santé des migrants est une question régionale de santé publique, » déclare Dabea Gaboutloeloe, Coordonnatrice pour les questions de migration et santé de l’OIM en Afrique du Sud.
En 2008, à la 61e Assemblée mondiale de la Santé, la résolution 61.17 sur la santé des migrants a été adoptée par les Etats membres de cette Assemblée. En vertu de cette résolution, les Etats membres s’engageaient à trouver les moyens d’examiner et d’améliorer l’accès des migrants aux services de santé. L’OIM soutient le Gouvernement de l’Afrique du Sud à l’échelle nationale, provinciale et locale dans la mise en œuvre des recommandations et des engagements énoncés dans cette résolution.
Malgré des cadres législatifs et politiques novateurs qui promeuvent l’accès universel aux services et programmes de santé, les migrants ont toujours des difficultés à faire valoir leur droit d’accès aux services de santé de base en Afrique du Sud.
Il y a un écart entre l’accès sur le plan juridique et l’accès dans la pratique. Les dispositions énoncées dans la Constitution, les législations nationales et les déclarations d’action officielles garantissent le droit des migrants à l’accès aux soins de santé. Mais dans la pratique, au niveau des hôpitaux et des cliniques, souvent, ces droits ne sont pas reconnus en raison de l’ignorance et de la xénophobie
Des efforts ont été déployés pour remédier à certains de ces problèmes. Dans le Plan stratégique national sur le VIH/sida, les infections sexuellement transmissibles (IST) et la tuberculose (2012-2016), les migrants sont l’une des populations visées. Ils sont confrontés à des problèmes et à des obstacles, aux niveaux individuel, environnemental et structurel, les rendant particulièrement vulnérables au VIH et à la tuberculose. Des orientations opérationnelles visant à aider les planificateurs de santé à concevoir et mettre en œuvre des programmes qui permettront d’atteindre les objectifs fixés pour les populations visées dans ce Plan ont été élaborées.
« Nous espérons que ce dialogue par le biais de la Consultation nationale sur la migration et la santé aboutira à des stratégies à long terme et durables afin de remédier à ces lacunes et à ces problèmes. L’OIM continuera de soutenir le Gouvernement de l’Afrique du Sud à tous les niveaux et de renforcer la capacité des partenaires locaux en vue d’atteindre cet objectif, à savoir des migrants en bonne santé dans des communautés saines » déclare Mme Gaboutloeloe.
La Consultation fait partie du programme de prévention et de traitement du VIH/sida, des IST et de la tuberculose pour les migrants, les populations mobiles et les communautés touchées par la migration, lancé par l’OIM et le projet Ripfumelo. Ce programme est financé par le PEPFAR par l’intermédiaire d’USAID.
Pour plus d’informations, prière de contacter
Gaone Dixon
l’OIM Prétoria
Courriel : gdixon@iom.int
Tél. : +27 72 127 7094