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Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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Les pays africains s'engagent à renforcer leur coopération pour mieux protéger les migrants
Addis-Abeba, 11 octobre – Plus de 300 représentants des États membres africains, des parties prenantes, des Nations Unies et de la Commission de l'Union africaine se sont réunis pour le deuxième examen africain du Pacte mondial pour des migrations sûres, ordonnées et régulières (GCM). Convoqué par l'Organisation internationale pour les migrations (OIM) et la Commission économique des Nations Unies pour l'Afrique (UNECA) au nom du Réseau des Nations Unies pour les migrations, cet événement de trois jours contribuera à fournir toutes les informations nécessaires au Forum d'examen des migrations international (IMRF) en 2026.
À l'heure où les tensions mondiales autour des migrations s'aggravent, la conférence a rappelé l'engagement des pays africains à l'égard du Pacte mondial pour des migrations sûres, ordonnées et régulières. Les participants ont travaillé sur les mesures concrètes à prendre pour relever les différents défis en matière de migration mais aussi pour en saisir toutes les opportunités. Ils ont notamment pris des engagements plus fermes pour améliorer la protection des migrants, ainsi que pour améliorer les données utilisées dans l’élaboration de politiques et ont souligné l’importance de reformuler les discours sur la migration afin de la présenter comme une opportunité de développement.
« Cette réunion marque une étape importante dans la concrétisation des engagements en matière de migration, où nous veillons à ce que les migrants soient reconnus comme des catalyseurs de changement positif et de croissance économique », a déclaré Amy Pope, Directrice générale de l'OIM et Coordinatrice du Réseau des Nations Unies sur les migrations.
Il est urgent de mettre en place des voies de migration régulières et de renforcer la coopération internationale pour garantir une migration sûre, ordonnée et humaine. Le mécanisme de renforcement des capacités du Pacte a déjà permis d’aider 16 équipes de pays des Nations unies et quatre gouvernements en Afrique, tandis que le Fonds fiduciaire multipartenaires pour les migrations a financé huit programmes conjoints sur le continent. Les récentes initiatives ont également été soutenues par de nouvelles promesses de financement, dont 4 millions de livres sterling de la part du Royaume-Uni et les premières contributions de l'Afrique subsaharienne, avec l'Eswatini et le Kenya.
« L'Afrique est une plaque tournante dynamique et complexe de la mobilité humaine, caractérisée par des migrations mixtes et irrégulières. Le Pacte offre donc aux États membres une occasion importante d'aborder tous les aspects de leur gouvernance migratoire de manière globale », a déclaré le ministre éthiopien de la justice, M. Gedion Timothewos.
Dans son discours d'ouverture, S.E. Minata Samate Cessouma, Commissaire à la santé, aux affaires humanitaires et au développement social à la Commission de l'Union africaine, a déclaré : « La migration est une opportunité pour le continent africain, tant pour les pays d'origine des migrants que pour les pays de transit et de destination. Nous devons intensifier notre coopération si nous voulons faire valoir le potentiel de la migration et atteindre les objectifs du Pacte. Les recommandations de cette réunion seront présentées aux chefs d'État lors du prochain sommet de l'Union africaine afin que des mesures puissent être prises. »
Claver Gatete, Secrétaire exécutif de la CEA, a présenté cinq priorités pour mieux mettre en valeur le potentiel de la migration : « Pour faire de la migration une force dynamique au service du développement durable en Afrique, nous devons lever les obstacles qui entravent son impact positif. Voici nos cinq priorités : accélérer la reconnaissance mutuelle des compétences et des qualifications à travers les frontières africaines ; permettre la transférabilité des avantages sociaux en lien avec les pensions et la santé ; avancer sur la zone de libre-échange continentale africaine pour une plus grande mobilité de la main-d'œuvre ; intégrer les déplacements induits par les changements climatiques ; et inclure les données sur la migration dans les recensements nationaux et faciliter la collaboration transfrontalière pour la collecte de données. »
Note à l’éditeur :
Les pays du Pacte - au nombre de 15 en Afrique - ont publié une déclaration dans laquelle ils s'engagent à nouveau en faveur du Pacte ; cinq communautés économiques régionales africaines étaient présentes pour présenter les résultats de leurs examens sous-régionaux du Pacte, ainsi que quatre centres spécialisés dans les migrations de l'Union africaine.
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Pour plus d'informations, veuillez contacter:
OIM: ethiopiapsucommunications@iom.int
CEA: Denekews.uneca@un.org
UN Network on Migration: fkim@iom.int