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Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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Les migrants retournent en masse en Uruguay
Analyse
Les tendances migratoires enregistrées ces dernières années en Uruguay sont caractérisées par le retour des ressortissants depuis l'étranger, en particulier depuis l'Espagne et les États-Unis, ainsi que par la hausse du nombre de migrants et par l'hétérogénéité des ethnies qui sont récemment entrés dans le pays. Un nombre croissant de ressortissants uruguayens sont rentrés de plusieurs pays d'Amérique latine et des Caraïbes.
S'agissant de la migration de retour, parmi les migrants qui entrent dans le pays, un certain nombre d'Uruguayens ont obtenu la nationalité du pays vers lequel ils avaient émigré et rentrent avec toute leur famille. C'est notamment le cas des personnes nées aux Etats-Unis, en Espagne et en Argentine.
Concernant les migrants en provenance du continent, le nombre de Péruviens a triplé depuis 2011 (par rapport à 1996), et le nombre de migrants du Mexique, du Brésil et d'Amérique centrale a également augmenté. Le pourcentage de personnes ayant déclaré avoir des origines indigènes parmi les migrants récemment arrivés est une des autres tendances observées.
L'Uruguay devient donc un pays de destination en plus d'être un pays d'origine comme il l'a surtout été ces dernières décennies, en particulier depuis 1970.
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Uruguay - Le retour des migrants uruguayens se poursuit à un rythme que les autorités qualifient de « record historique » avec plus de 2 200 retours enregistrés au cours des 12 derniers mois.
En 2013, 2 242 Uruguayens sont rentrés dans leur pays d’origine volontairement et par leurs propres moyens. La grande majorité a cité des raisons financières et familiales au moment de prendre cette décision.
La majorité des rapatriés vivaient en Espagne, suivie des Etats-Unis et de l’Argentine. Près de 1 500 de ceux qui sont rentrés en 2013 se sont installés à Montevideo, la capitale.
Lors de la présentation, cette semaine, d’un rapport sur le retour des ressortissants établi par le Ministère des affaires étrangères, l’OIM a relevé une hausse considérable du nombre de migrants arrivant dans le pays depuis l’Amérique latine et les Caraïbes.
« Bien que la population née à l’étranger ne représente que 2,4% de la population de 3,3 millions d’habitants, il s’agit d’un changement net des schémas migratoires du pays. La croissance économique et le faible taux de chômage encouragent non seulement les ressortissants uruguayens à rentrer chez eux mais également les migrants des pays voisins et d’autres pays de la région à y chercher un emploi », explique Alba Goycoechea, chef de mission de l’OIM en Uruguay.
L’Argentine, représentant 34% de la population étrangère en Uruguay, arrive en tête, suivie du Brésil avec 16%, du Paraguay avec 2,3%, du Chili avec 2,2%, du Pérou avec 1,9%, du Venezuela avec 1,2%, de Colombie avec 1%, de Bolivie avec 0,5% et d’Equateur avec 0,4%.
Entre 1996 et 2011, le nombre de migrants péruviens a triplé. Les arrivées depuis la République dominicaine, les Etats-Unis, la Colombie et le Royaume-Uni ont également augmenté ces dernières années.
L’OIM aide à accroître la capacité des responsables gouvernementaux en participant à une série d’ateliers centrés sur les droits des migrants et la gestion des migrations.
« Nous fournissons aux responsables du gouvernement les connaissances nécessaires en matière de droit international et de normes migratoires pour s’assurer que les droits des migrants soient respectés, en particulier lorsqu’ils rencontrent des personnes très vulnérables telles que les mineurs non accompagnés », a ajouté Alba Goycoechea.
L’OIM a apporté son expertise aux autorités gouvernementales chargées de concevoir la politique migratoire de l’Uruguay.
La publication de l’OIM intitulée Migrants internationaux et rapatriés en Uruguay : ampleur et caractéristiques est disponible en espagnol sur : http://www.iom.int/files/live/sites/iom/files/pbn/docs/Informe-de-resultados-del-Censo-de-Poblacion-2011.pdf
Pour plus d’informations, veuillez contacter
Alba Goycoechea
OIM Montevideo
Email: agoycoechea@iom.int
Tel: +598 2 916.80.43