-
Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
Structure
Structure
- Structure organisationnelle
- Directrice générale
- Directrice générale adjointe chargée de la gestion et des réformes
- Directrice générale adjointe chargée des opérations
- Bureau du Chef de Cabinet
- Bureau des partenariats, de la sensibilisation et de la communication
- Bureau de la stratégie et de la performance institutionnelle
-
Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
Ce que nous faisons
Ce que nous faisons
Partenariats
Partenariats
- Où travaillons-nous
-
Agir
Agir
Travailler avec nous
Travailler avec nous
Engagez-vous
Engagez-vous
- Données et recherche
- 2030 AGENDA
Les Maldives adoptent une loi pénalisant la traite des personnes
Maldives - L’OIM salue l’adoption d’une loi anti-traite par le gouvernement des Maldives, qui considère désormais la traite des personnes comme une infraction pénale exposant les auteurs de 10 à 15 ans d’emprisonnement. La loi, qui a été présentée devant le parlement maldivien – Les Majlis – en avril 2013, considère également les infractions telles que le travail forcé et le recrutement frauduleux comme des actes de traite. L’OIM participe activement aux activités de lutte contre la traite aux Maldives depuis cinq ans et continuera à soutenir le gouvernement et les partenaires non-gouvernementaux dans les domaines de la prévention, des poursuites et de la protection.
Les Maldives sont un pays de destination pour la traite des personnes, notamment pour le commerce du sexe et le travail forcé. Le gouvernement estime que près d’un tiers de la population des Maldives (300 000 habitants) sont des travailleurs migrants, dont 50 000 ont un statut irrégulier. Il s’agit principalement de migrants du Bangladesh et d’Inde qui entrent dans les secteurs de la construction et des services, soit de manière légale ou irrégulière, et sont vulnérables au recrutement frauduleux, à la confiscation de leurs papiers d’identité et de leurs documents de voyage, au non-paiement des salaires et à la servitude pour dette. La traite d’enfants maldiviens à l’intérieur du pays est aussi un problème.
La première législation qui pénalise la traite est une étape importante dans la gestion des nombreux défis migratoires aux Maldives. L’île est devenue un Etat membre de l’OIM le 5 août 2011 et la formulation d’une loi de lutte contre la traite a débuté en 2012 avec le soutien du gouvernement australien. L’OIM travaille attentivement avec d’autres parties prenantes pour faire avancer la loi, tout en fournissant une protection et des services de réintégration aux victimes et en dispensant des formations avec les responsables du maintien de l’ordre, les procureurs et le pouvoir judiciaire sur l’identification, les recherches et les poursuites des cas de traite.
L’OIM s’engage à soutenir les Maldives pour s’assurer que la loi rende justice aux victimes de traite et continue de travailler sur deux projets en cours : un projet de deux ans financé par le Bureau chargé de contrôler et de combattre la traite du Département d’Etat américain et un projet d’une année financé par le Fonds de développement de l’OIM pour renforcer la capacité de gestion des migrations.
Pour plus d’information, veuillez contacter
Alia Hirji
responsable du programme de lutte contre la traite
OIM Maldives
Tel: +960 791 2649
E-mail: ahirji@iom.int