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Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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Les Etats-Unis et les Nations Unies évaluent l’impact du séisme en Papouasie-Nouvelle-Guinée et fournissent de l’aide aux survivants
Port Moresby - Près de trois semaines après le séisme de magnitude 7,5 qui a secoué les provinces isolées d’Hela et des Hautes-Terres méridionales, en Papouasie-Nouvelle-Guinée, les équipes de l’OIM œuvrent avec le gouvernement et ses partenaires en vue d’évaluer l’impact réel de la catastrophe et de fournir l’aide nécessaire aux survivants, tandis que les glissements de terrain et les répliques sismiques continuent d’affecter la région.
Le gouvernement estime que plus de 544 000 personnes à travers cinq provinces ont été touchées par le séisme, qui a déjà fait au moins 145 morts. Plus de 270 000 personnes ont besoin d’une aide immédiate, notamment de nourriture, d’eau, de médicaments, de bâches en plastique, de tentes et de couvertures.
Le gouvernement et ses partenaires des organismes humanitaires et du secteur privé ont ciblé sept des gouvernements de niveau local (GNL) les plus sinistrés dans les provinces d’Hela et des Hautes-Terres méridionales. Ils ont également établi deux bases d’opérations avancées et deux centres opérationnels d’urgence près de l’épicentre du séisme.
Cependant, même si les routes principales ont été dégagées, les travailleurs humanitaires avertissent que les dégâts pourraient continuer d’augmenter car de nombreuses communautés touchées restent coupées du monde en raison des glissements de terrain et ne sont accessibles que par voie aérienne.
« Bon nombre d’habitants parmi les populations touchées vivent dans des communautés isolées qui sont déjà difficiles à atteindre en temps normal. Après une catastrophe de cette ampleur, elles sont encore plus isolées. L’aide par avion pour atteindre ces populations est primordiale », a déclaré Lance Bonneau, chef de mission de l’OIM en Papouasie-Nouvelle Guinée.
L’OIM, qui dirige les clusters des abris, de l’aide non alimentaire et de la gestion et de la coordination des camps (CCCM) dans l’action d’urgence, a déployé des équipes de suivi du déplacement et a aidé la compagnie de carburant ExxonMobil et d’autres partenaires locaux sur le terrain à évaluer l’impact du séisme, les besoins des habitants et les lacunes en matière d’aide.
La carte générée par la Matrice de suivi des déplacements (DTM) contribuera à coordonner l’action multipartenaires du Centre national des catastrophes de PNG, afin de garantir que les populations qui en ont le plus besoin reçoivent l’aide escomptée.
L’OIM, qui a reçu 100 000 dollars de l’Office de l’USAID chargé de l’aide en cas de catastrophe à l’étranger, a déjà distribué des articles de construction d’abris et d’aide non alimentaire à plus de 400 familles déplacées. Le financement américain lui permettra de fournir des abris de base, de l’eau et des services d’assainissement à 800 des familles les plus sinistrées et contribuera également à la formation des autorités locales et des ONG qui gèrent les centres de prise en charge des survivants du séisme.
Quelque 100 000 dollars supplémentaires donnés à l’OIM par l’OCHA (l’Office des Nations Unies pour la coordination des affaires humanitaires) la semaine dernière, seront utilisés pour fournir davantage d’aide, notamment des matériaux pour les abris et des conteneurs d’eau à 2 500 familles.
« Nous sommes reconnaissants de l’aide reçue jusqu’ici mais les besoins restent considérables. Le plein impact du séisme apparaît petit à petit, à mesure que les glissements de terrain continuent d’affecter les zones instables. Les sources d’eau et de nourriture traditionnelles sont compromises et des populations entières sont traumatisées par l’ampleur de la catastrophe. Nous devons continuer à répondre aux besoins immédiats des plus touchés mais nous devons aussi penser au relèvement à long terme et au redressement des infrastructures communautaires. Les abris, l’eau, l’assainissement et l’hygiène sont des besoins urgents à l’heure actuelle et continueront de l’être dans l’avenir proche », a déclaré Lance Bonneau.
Pour plus d’informations, veuillez contacter l’OIM à Port Moresby, Wonesai Sithole, Tel : +675 4 3213655 Email : wsithole@iom.int ou Lance Bonneau, Tel : +675 321 36 55, Email : lbonneau@iom.int