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Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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Les Etats membres de la SADC débattent des défis de la migration composite et irrégulière
Sud-africaine - En partenariat avec le gouvernement du Malawi, le Secrétariat de la Communauté de développement d’Afrique australe (SADC), le HCR et l’ONUDC, le Bureau régional de l’OIM pour l’Afrique australe organise un Dialogue régional technique sur les migrations dans le cadre de la Conférence d’Afrique australe (MIDSA), qui se tiendra du 30 juin au 2 juillet, à Lilongwe, au Malawi.
La conférence réunira des hauts responsables gouvernementaux chargés des affaires intérieures originaires des 15 Etats membres de la SADC pour faire le point sur les mesures prises aux niveaux national et régional en vue de faire face aux flux de migration composite et irrégulière dans la région depuis la Conférence de Dar-es-Salaam (2010), et pour informer les Etats membres des tendances actuelles de la migration composite et irrégulière.
La conférence, soutenue par l’Afrique du Sud et les Etats-Unis, évaluera également la mise en œuvre du Plan d’action régional de Dar-es-Salaam et proposera une stratégie commune pour augmenter l’efficacité des mesures prises en vue de gérer les flux de migration composite et irrégulière aux niveaux national et régional.
Les Etats membres de la SADC devraient élaborer un plan d’action régional pour assurer la continuité du plan de Dar-es-Salaam. La conférence devrait également convenir d’une proposition de renforcement de la coordination régionale et de l’harmonisation des approches en vue de gérer la migration composite et irrégulière. Les Etats membres dresseront en outre une feuille de route pour finaliser l’ébauche du plan et son adoption ultérieure lors de la réunion ministérielle de la MIDSA en 2015.
Les mouvements migratoires internationaux en Afrique sont devenus plus complexes ces dernières années et sont de plus en plus composites par nature. Les migrations dans la région sont actuellement caractérisées par des mouvements de populations de réfugiés, de demandeurs d’asile, de migrants économiques et d’autres migrants originaires de la région ou d’ailleurs.
Une étude de l’OIM estime qu’environ 20 000 personnes se dirigent vers le sud depuis l’Afrique de l’Est et la corne de l’Afrique chaque année, mais bon nombre n’atteignent jamais l’Afrique du Sud. Ils connaissent souvent de grandes difficultés, notamment la faim et l’abandon, la maltraitance physique et sexuelle, l’exploitation, la détention de longue durée et même la mort (généralement par noyade ou par suffocation dans les conteneurs des camions).
Depuis plus de dix ans, l’OIM, l’ONUDC et le HCR encouragent la coordination régionale en matière de gestion des migrations, soutiennent les Etats membres dans le renforcement de leurs réponses à la criminalité transfrontalière organisée, notamment le trafic illicite de migrants et la traite des personnes, et les soutiennent aussi dans la protection des migrants vulnérables, des réfugiés et des demandeurs d’asile au sein de la région d’Afrique australe.
« La région d’Afrique australe dispose de mécanismes formels limités en matière de gestion des migrations et de protection des migrants vulnérables, des réfugiés et des demandeurs d’asile ; d’élimination des problèmes liés à la migration tels que le trafic de migrants et la traite des personnes ; et de maximisation des avantages de la migration pour le développement », déclare Bernardo Mariano, Directeur régional de l’OIM pour l’Afrique australe.
« Pour que les migrations profitent à la société dans son ensemble, elles doivent être bien gérées. Cette bonne gestion suppose une coordination interétatique efficace et une bonne collaboration entre les différentes parties prenantes », ajoute-t-il.
La MIDSA est un processus consultatif régional des Etats membres de la SADC, soutenu par l’OIM et le Secrétariat de la SADC. Elle fait office de plateforme de débat sur les questions migratoires dans un environnement non contraignant et informel, et permet de maintenir et de partager des informations précises, fiables et à jour sur les tendances migratoires afin de stimuler le développement de politiques et de programmes.
Pour plus d’informations, veuillez contacter
Gaone Dixon
OIM Afrique du Sud
Tel: +27 72 127 7094
Email: gdixon@iom.int