-
Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
Structure
Structure
- Structure organisationnelle
- Directrice générale
- Directrice générale adjointe chargée de la gestion et des réformes
- Directrice générale adjointe chargée des opérations
- Bureau du Chef de Cabinet
- Bureau des partenariats, de la sensibilisation et de la communication
- Bureau de la stratégie et de la performance institutionnelle
-
Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
Ce que nous faisons
Ce que nous faisons
Partenariats
Partenariats
- Où travaillons-nous
-
Agir
Agir
Travailler avec nous
Travailler avec nous
Engagez-vous
Engagez-vous
- Données et recherche
- 2030 AGENDA
Les dirigeants humanitaires se réunissent en Arabie saoudite pour débattre des itinéraires migratoires les plus dangereux du monde
Riyad - Cette semaine, le Forum humanitaire international de Riyad, organisé par le Centre d’aide humanitaire et de secours du roi Salman (KSrelief) était centré sur la recherche de solutions sûres et dignes qui répondent aux besoins des personnes entreprenant des périples migratoires précaires vers des pays en conflit.
Bien que la majorité des migrants d’aujourd’hui voyagent de manière sûre et ordonnée, des centaines de milliers de personnes entreprennent des périples dangereux. Dans des pays comme la Libye et le Yémen, le conflit actuel exposent les migrants et les réfugiés à un risque plus important d’exploitation, de violence, de détention arbitraire et d’autres exactions.
Les responsables politiques, les dirigeants des Nations Unies, les représentants de la société civile et des gouvernements donateurs se sont réunis lors du forum pour débattre de ce problème et d’autres questions prioritaires pour la communauté humanitaire et celles du développement.
L’Organisation internationale pour les migrations et KSrelief ont organisé un débat de haut niveau intitulé Flux migratoires à grande échelle depuis l’Afrique à travers les mers en direction des Etats du Golfe et de l’Europe dans des installations humanitaires.
« La communauté internationale joue un rôle essentiel pour protéger et soutenir les communautés vulnérables mais également pour coopérer avec les gouvernements afin de garantir que la migration ait lieu de manière légale et sûre », a déclaré le Directeur général de l’OIM, António Vitorino.
Au Yémen, l’OIM a enregistré près de 140 000 arrivées de migrants pour la seule année 2019. La plupart d’entre eux aspiraient à atteindre le Royaume d’Arabie saoudite. En Libye, environ 80 pour cent des plus de 700 000 résidents à long terme, migrants, réfugiés et demandeurs d’asile récemment arrivés ont indiqué avoir quitté leur pays d’origine dans l’intention de travailler dans le pays.
« Les migrants et les réfugiés font face à des obstacles considérables car cette population ne souhaite souvent pas être statique ou vue », a ajouté Lisa Grande, Coordonnatrice humanitaire des Nations Unies au Yémen. « Il faut essayer d’imaginer comme il est difficile pour un migrant d’accéder aux soins médicaux, ou de s’enregistrer pour recevoir de l’aide. Atteindre ces populations vulnérables nécessite innovation et collaboration. »
Le dialogue comprenait des contributions de Lena Elsheikh Omer Mahgoub, Ministre du travail et du développement social du Soudan ; Jennifer Townson, Envoyée du gouvernement britannique en charge de la migration et de l’esclavage moderne ; Michael Köhler, Directeur général adjoint du Service de l’Union européenne à la protection civile et à l’aide humanitaire (ECHO) ; et Vincent Cochetel, Envoyé spécial du HCR pour la situation dans la Méditerranée centrale.
Le Forum a également exploré comment les acteurs humanitaires et ceux du développement peuvent collaborer plus efficacement pour activer les mécanismes du lien entre action humanitaire et développement.
« Nous devons mettre fin au conflit. La solution à beaucoup de ces problèmes est la paix et la stabilité. L’aide humanitaire peut y contribuer », a déclaré Jan Egeland, Secrétaire-Général du Conseil norvégien pour les réfugiés.
« Nous devons instaurer la confiance mutuelle avec les communautés locales et nous assurer que les autorités locales coopèrent avec la société civile et les organisations intergouvernementales », a ajouté le DG Vitorino.
En marge du Forum, le Directeur général a rencontré le Ministre des affaires étrangères du Royaume d’Arabie saoudite, Faisal bin Farhan Al Saud, le Superviseur général de KSrelief, le Dr. Abdullan Al Rabeah, et le Président de la Commission des droits de l’homme du Royaume, le Dr. Awwad Al Awwad. Ils ont débattu de la contribution de l’Organisation à la vision du Royaume à l’horizon 2030, de leur partenariat pour améliorer l’aide humanitaire et les secours et de la coopération en matière de lutte contre la traite des personnes.
Pendant l’événement de deux jours, l’OIM a également présenté l’exposition de réalité virtuelle Holding On aux participants. La campagne sensibilise à la détresse des déplacés internes et met à l’honneur leur courage et leur résilience.
Pour plus d’informations, veuillez contacter Olivia Headon, OIM Yémen, email : oheadon@iom.int ou Angela Wells, siège de l’OIM à Genève, email : awells@iom.int