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Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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Les ambassades en Libye, l’OIM et leurs partenaires encouragent les alternatives à la détention
Tunis - L’OIM, l’organisme des Nations Unies chargé des migrations, le Conseil danois pour les réfugiés et la Coalition internationale contre la détention ont récemment organisé une réunion de deux jours (1er et 2 octobre) pour étudier les alternatives à la détention des migrants en Libye.
La réunion, qui s’est tenue à Tunis, a réuni des représentants des ministères libyens des affaires étrangères, des affaires sociales et du travail et de la Direction de lutte contre la migration illégale (DCIM) du Ministère de l’intérieur. D’autres représentants de l’Union africaine, du personnel diplomatique de huit pays africains, des représentants des ambassades du Bangladesh et du Pakistan et des membres d’ONG et d’agences des Nations Unies étaient également présents.
La réunion, financée par le Bureau de la population, des réfugiés et des migrations (PRM) du Département d’Etat américain et le Département britannique pour le développement international (DFID) était l’occasion de discuter d’alternatives à la détention avec les représentants des ambassades et d’apprendre à gérer les problèmes auxquels est confronté le personnel diplomatique en matière de procédure consulaire pour les migrants en détention.
Les représentants d’ambassades ont préparé une déclaration de principes qui a été présentée aux autorités libyennes au deuxième jour de l’atelier. Les ambassades ont mis l’accent sur les contraintes auxquelles elles sont confrontées pour rencontrer leurs ressortissants détenus et ont appelé à améliorer la collaboration avec les autorités libyennes et les organisations internationales pour trouver des alternatives à la détention qui respectent la loi libyenne.
Bien que la situation en Libye soit complexe et que la migration comporte de nombreux facteurs qui nécessite des efforts dans les pays d’origine, de transit et de destination, des mesures concrètes immédiates peuvent être prises, a souligné Junita Calder, représentante de la Coalition internationale contre la détention.
Ces mesures peuvent être l’introduction des mécanismes de contrôle, la mise en place de renvois et l’adoption d’une approche de gestion de cas. Les ambassades étant prêtes à contribuer à ces efforts, la réussite est d’autant plus probable, a déclaré James Martin, responsable des programmes du Conseil danois pour les réfugiés.
Karolina Edsbacker, chargée de protection de l’OIM en Libye, a salué les initiatives ad hoc actuellement prises par la communauté diplomatique en Libye pour trouver des alternatives à la détention. « L’hébergement au sein de la communauté et d’autres solutions sûres doivent être proposées et pour ce faire, la collaboration avec les ambassades est primordiale », a-t-elle expliqué.
« Il est important de garder à l’esprit que le problème du centre de détention n’est qu’une partie d’un débat plus large sur le phénomène généralisé de la migration », a déclaré Marwan Ali Nousriwel, du Ministère des affaires étrangères, reconnaissant que la gestion des migrations ne peut être la seule responsabilité de la Libye mais également des pays d’origine, de transit et de destination.
Maya Fadel Sahli, représentante de la Commission africaine sur les droits de l’homme et des peuples au sein de l’Union africaine, a mentionné des exemples de pays de la région qui ont tenté des alternatives à la détention. A la fin de l’atelier, elle a salué le consensus trouvé par les représentants diplomatiques et les autorités libyennes sur la nécessité de trouver des alternatives à la détention en Libye.
Un rapport résumant l’atelier, qui établira les meilleures pratiques présentées par les ambassades et comprendra des recommandations sur la marche à suivre, ouvrira la voie aux prochaines discussions sur les alternatives à la détention entre les principaux concernés.
Générateur de profil des centres de détention de la DTM de l’OIM en Libye, septembre 2017
Cet outil a été conçu pour fournir des données quantitatives et pragmatiques qui établissent les profils multisectoriels de centres de détention de la DCIM en Libye.
En sélectionnant un centre de détention spécifique de la liste déroulante en haut de la page, le profil du centre de détention génère une fiche d’information imprimable en PDF présentant un aperçu du nombre de femmes, d’hommes et d’enfants détenus dans chaque centre le jour de l’évaluation. La fiche présente également la répartition des nationalités des personnes détenues dans chaque centre et donne un aperçu multisectoriel des besoins primaires et des vulnérabilités relatives à la santé, à l’aide WASH, à la nourriture, à la protection et à l’accès à l’information.
Comme c’est le cas pour toutes les publications de la DTM en Libye, le générateur de profil des centres de détention est accompagné d’un ensemble de données complètes qui contient :
• Le générateur de profil
• Une base de données sur le profil des centres de détention
• La carte mise à jour des centres de détentions dirigés par la DCIM
• La carte MMWG 4Ws mise à jour par la DTM
• Un glossaire et un dictionnaire
• La méthodologie d’établissement du profil
• Les directives des recenseurs
• Les formulaires d’évaluation des centres de détention.
Ce fichier contient les profils des centres de détention libyens d’Abusliem, d’Al Kufra, de Benghazi al Wafiah, de Gharyan al Hamra, de Shahhat, de Tajoura, de Trig al Matar, de Trig al Seka et de Zilten. Les informations mentionnées concernent le centre de détention, les données démographiques et les abris, les populations vulnérables, les principales nationalités présentes et les données sectorielles (santé, WASH, nourriture, protection, structures d’information sur site, accès à l’information et sources d’information).
Tous les résultats et données de la DTM sont disponibles sur le site de la DTM : www.globaldtm.info/libya
Pour toute question, veuillez contacter :
Daniel Salmon, coordonnateur du programme - DTM Libye, OIM Libye (basé à Tunis, en Tunisie).
Tel.: +216 29 235 097, Skype: daniusalmon, Email: dsalmon@iom.int
Pour plus d’informations, veuillez contacter :
OIM Libye : Karolina Edsbacker, Tel : +216 29 202 896, Email : kedsbacker@iom.int
DRC Libye : Yannick Creoff, Tel : +216 23 462 795, Email : pm.consortium@drc-libya.org