-
Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
Structure
Structure
- Structure organisationnelle
- Directrice générale
- Directrice générale adjointe chargée de la gestion et des réformes
- Directrice générale adjointe chargée des opérations
- Bureau du Chef de Cabinet
- Bureau des partenariats, de la sensibilisation et de la communication
- Bureau de la stratégie et de la performance institutionnelle
-
Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
Ce que nous faisons
Ce que nous faisons
Partenariats
Partenariats
- Où travaillons-nous
-
Agir
Agir
Travailler avec nous
Travailler avec nous
Engagez-vous
Engagez-vous
- Données et recherche
- 2030 AGENDA
Le Vice-président colombien fait part de l'intention du Gouvernement de travailler avec l'OIM sur la restitution des terres
Lors du deuxième Forum international sur la migration et la
paix, qui s'est tenu cette semaine à Bogota avec le soutien
de l'OIM, Angelino Garzón, Vice-président colombien,
a fait part de l'engagement du gouvernement envers la population
déplacée à l'intérieur du pays et il a
réitéré son intention d'uvrer pour la
restitution des terres, en partenariat avec l'OIM.
Environ trois millions d'hectares de terrain agricole ont
été abandonnés par la population qui fuyait la
violence.
Le Forum de deux jours, organisé par le réseau de
migration internationale Scalabrini avec le soutien de l'OIM et
auquel participeront des responsables du gouvernement, des
organisations internationales et non-gouvernementales, vise
à promouvoir la coexistence pacifique dans le cadre de la
migration internationale et à encourager les gouvernements
latino-américains à mettre en uvre des
politiques de protection des droits fondamentaux des migrants.
En ce qui concerne les déplacements internes, les
débats étaient centrés sur la violence et ses
conséquences directes sur la migration dans le cas de la
Colombie, où près de trois millions de personnes sont
déplacées à l'intérieur du pays et
vivent dans des conditions de vulnérabilité
extrême.
La violence et le manque de sécurité et
d'opportunités ont été cités comme
étant les raisons principales pour lesquelles près de
4,5 millions de Colombiens, soit 10 % de la population, ont choisi
de quitter le pays.
Diego Beltrand, haut conseiller pour les Amériques, a
insisté sur le fait que le soutien de l'OIM est fondamental
dans l'élaboration d'une politique visant à
promouvoir les droits fondamentaux des migrants. « Il y a un
an, une nouvelle politique migratoire a été
approuvée par l'Etat colombien et a
bénéficié de l'aide technique de l'OIM dans
son élaboration et sa formulation. Cette politique est
centrée sur la gestion des frontières, la traite et
les diverses dimensions de la gestion des migrations en Colombie -
notions essentielles au développement de solutions pour une
coexistence pacifique. »
Pour plus d'informations, veuillez contacter:
Jorge Gallo
OIM Bogota
Tél: +57 1 639 7777
E-mail:
"mailto:jgallo@iom.int">jgallo@iom.int