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Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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Le Royaume-Uni et l'OIM soutiennent l'amélioration de la libre circulation des personnes au sein des pays membres de la communauté d'Afrique de l'Est
Le Ministère britannique du développement
international (DFID) va signer aujourd'hui un accord avec l'OIM, en
soutien à la Communauté d'Afrique de l'Est (EAC en
anglais) dans les efforts entrepris pour harmoniser la gestion des
migrations dans la région.
Cet accord contribuera à l'effort général
visant à garantir la libre circulation des personnes en
toute sécurité entre les différents pays
membres de l'AEC tout en tentant de surmonter les problèmes
de la migration irrégulière, du trafic illicite de
migrants, de la traite et de la migration de main-d'uvre.
Les flux migratoires à travers la région de
l'Afrique de l'Est sont caractérisés par une
importante circulation de réfugiés et de
déplacés internes, par la migration de
main-d'uvre, par la migration irrégulière,
notamment la traite et le trafic illicite de migrants, et par la
migration temporaire habituelle. De nombreux migrants originaires
des Etats membres de l'AEC restent à l'intérieur de
la région. Ces derniers deviennent alors des pays d'origine,
de transit et de destination.
Des études ont montré que les Etats de la
région sont également des pays d'origine et de
transit à la fois pour les réfugiés et les
migrants irréguliers qui suivent l'itinéraire
méditerranéen (vers le Soudan, l'Egypte, la Libye et
jusqu'en Europe) et pour ceux qui empruntent l'itinéraire en
direction de l'Afrique du Sud.
L'objectif de l'AEC et des ses Etats membres est
d'établir un marché commun pour la libre-circulation
des personnes d'ici 2010. Avant cela, plusieurs questions doivent
être abordées, notamment la question de la
sécurité nationale, celle des droits des travailleurs
et des migrants, celle de la protection des réfugiés
et celle de la traite.
Un financement de 507 000 livres (281 000 dollars) de la part du
DFID permettra à l'OIM de soutenir le Secrétariat de
l'AEC, composé du Kenya, de l'Ouganda, de la Tanzanie, du
Rwanda et du Burundi, afin de renforcer sa capacité à
faire face à ces problèmes.
Cet argent sera utilisé pour le soutien technique d'un
nouveau bureau de la migration qui sera créé au
Secrétariat de l'AEC, améliorant ainsi son expertise
dans l'élaboration de politiques migratoires. Cette somme
permettra en outre d'aider à intégrer la migration
dans le protocole du marché commun et de fournir des
informations au Secrétariat et aux pays membres sur les
défis migratoires émergents et sur les interventions
possibles.
Par ailleurs, un Comité consultatif régional sera
mis en place dans le but de renforcer le dialogue sur la migration
avec d'autres régions et d'autres pays. Un Centre de
ressources sur la migration sera établi à Arusha, au
Secrétariat de l'AEC. Ce centre donnera accès
à une bibliothèque pour la collecte et le partage
d'informations sur les tendances et les pratiques migratoires.
Le projet fera partie de « TradeMark East Africa »,
une initiative financée par plusieurs bailleurs de fonds et
gérée par le DFID afin d'encourager
l'intégration économique de la région. Ces
derniers collaborent avec le Secrétariat de l'AEC, les
gouvernements des Etats membres, les organisations de la
société civile et les entreprises afin de
promouvoir une meilleure intégration régionale
et une concurrence commerciale plus saine en Afrique de l'Est. La
Haute Commission britannique participera également à
la supervision de la mise en uvre du projet.
Pour plus d'informations, veuillez contacter le DFID, la Haute
Commission britannique et l'OIM à Nairobi au Kenya :
Tal Raviv
E-mail :
"mailto:traviv@iom.int">traviv@iom.int