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Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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Le pouvoir judiciaire libanais débat des poursuites à engager contre les trafiquants et de la protection des victimes
Lebanon - La Cour suprême libanaise et l’OIM au Liban ont organisé une table ronde avec 13 juges et procureurs de Beyrouth et du mont Liban pour réfléchir sur l’aide et la protection actuelle du Liban apportées aux victimes de traite.
Le débat a eu lieu dans le cadre du projet régional de l’OIM intitulé « Protéger et aider les travailleurs migrants vulnérables et exploités au Moyen-Orient et en Afrique du Nord (PAVE) », financé par l’Union européenne et cofinancé par le Ministère italien de l’intérieur. La table ronde a également été soutenue par les Etats-Unis.
La Loi libanaise n° 164/2011 contre la traite est relativement récente et le gouvernement libanais et le système de justice pénale s’attèlent à améliorer sa mise en œuvre.
Parmi les participants à la table ronde figurait Philippe De Koster, procureur général belge, qui a partagé l’expérience de la Belgique sur la mise en œuvre de sa Loi anti-traite ces 20 dernières années.
Marcelo Mori, responsable de la Section du développement durable de la Délégation de l’UE au Liban, était également présent. Il a décrit l’approche de l’UE en trois volets pour lutter contre ce crime : la prévention, la protection des victimes et la poursuite des trafiquants.
Le Président de la Cour suprême du Liban, Jean Fahed, a souligné l’importance de débattre de ce crime d’un point de vue juridique à la fois local et international. Il a observé que la traite était une menace à la souveraineté et à la sécurité, ainsi qu’aux valeurs humaines et à la dignité, appelant les juges libanais à combattre le crime.
Le projet PAVE vise à contribuer à protéger les travailleurs migrants contre l’exploitation et la traite dans cinq pays : l’Egypte, l’Iraq, la Jordanie, le Royaume d’Arabie saoudite et le Liban. Il regroupe six activités principales : la formation, le dialogue régional, les visites d’étude, l’aide aux victimes, la sensibilisation et la recherche & l’analyse. Il est mis en œuvre en faisant participer les acteurs de la société civile, les responsables gouvernementaux, les migrants et le grand public.
Pour plus d’informations, veuillez contacter Fitriana Nur, OIM Liban, Tel: +961 (7) 662 06 48. Email: fnur@iom.int