-
Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
Structure
Structure
- Structure organisationnelle
- Directrice générale
- Directrice générale adjointe chargée de la gestion et des réformes
- Directrice générale adjointe chargée des opérations
- Bureau du Chef de Cabinet
- Bureau des partenariats, de la sensibilisation et de la communication
- Bureau de la stratégie et de la performance institutionnelle
-
Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
Ce que nous faisons
Ce que nous faisons
Partenariats
Partenariats
- Où travaillons-nous
-
Agir
Agir
Travailler avec nous
Travailler avec nous
Engagez-vous
Engagez-vous
- Données et recherche
- 2030 AGENDA
Le nord de l’Iraq demande davantage d’aide pour les réfugiés syriens
Les autorités régionales kurdes au nord de
l’Iraq demandent, à l’OIM et aux autres
organisations internationales, une aide supplémentaire pour
pouvoir gérer le nombre croissant de réfugiés
arrivant de Syrie.
D’après Shakir Yasseen Yasseen, Directeur
général du Bureau des migrations et du
développement (BMD) des autorités régionales,
le nombre de réfugiés syriens accueillis dans le camp
de Domiz, près de Dahuk, a augmenté et au cours du
mois dernier a dépassé les 3 500.
« Depuis l’ouverture du camp début avril,
avec l’aide des organisations internationales, nous
réussissons à leur fournir les premières
nécessités, à savoir un abri, de la nourriture
et de l’eau. Toutefois, selon nos pronostics, ils ne
rentreront pas chez eux de sitôt », confie-t-il.
D’après les dernières statistiques du BMD,
plus de 5 300 syriens sont aujourd’hui réfugiés
au nord de l’Iraq. A la fin du mois de mai, 4 413 avaient
été enregistrés auprès du HCR et 425
autres attendaient leur enregistrement.
Selon M. Shakir, les réfugiés qui ne sont pas
accueillis au camp de Domiz sont principalement logés chez
des proches ou dans des mosquées locales dans les
gouvernorats de Sulaymaniyah et d’Erbil.
liées
alt="" border="0" height="12" hspace="0" src=
"/jahia/webdav/site/myjahiasite/shared/shared/mainsite/graphics/interface/icons_buttons/blue_link_box.gif">
"window.open('http://www.youtube.com/playlist?list=PL55E334E451572ED7', 'mywindow', 'location=1,status=1,scrollbars=1')">Syrian
Refugee Stories
Une évaluation de 180 familles, réalisée
par l’OIM la semaine dernière au camp de Domiz, a
montré que presque tous les réfugiés
étaient des Musulmans sunnites kurdes et qu’ils
avaient fui les gouvernorats syriens d’Al-Hasaka,
d’Alep, de Damas et de Rif Dimashq.
Parmi leurs principales motivations de quitter la Syrie, ils ont
cité les problèmes de sécurité
croissants et la rapide détérioration de la situation
économique.
Certains hommes réfugiés ont déclaré
être partis pour éviter de prendre part au conflit ou
d’être enrôlés dans l’armée
ou dans les forces de police.
L’avenir de la grande majorité d’entre eux
est incertain. Ils souhaitent rentrer chez eux mais ne
s’attendent pas à pouvoir le faire dans un futur
proche.
Bon nombre des réfugiés ont déclaré
avoir traversé illégalement la frontière entre
la Syrie et l’Iraq, voyageant à pied et en voiture
avec l’aide de passeurs. Plusieurs ont indiqué que le
montant à payer pour faire passer une famille
s’élève aujourd’hui à 300
dollars.
En tant que Kurdes, ils ont dit préférer trouver
refuge au nord de l’Iraq contrôlé par les
autorités régionales kurdes, mais d’autres
familles kurdes se sont réfugiées dans les pays
voisins ou ont été séparées par le
conflit.
« Nous avons une mère et trois de ses enfants ici
à Domiz, alors que son mari et ses deux autres enfants ont
trouvé refuge dans un camp au Liban. Ils ont
été séparés par des passeurs. Le mari
cherche toujours une solution pour venir ici », a
déclaré Niyaz Noori Bamary, agent de liaison de la
cellule d’urgence du gouvernement pour Dahuk.
Selon M. Bamary, bien que le camp parvienne à fournir les
première nécessités aux
réfugiés, notamment grâce à un conteneur
d’eau de 21 000 litres construit par l’OIM en avril
avec le financement de la Slovaquie, de nombreux services font
défaut, en particulier les services médicaux, ainsi
que l’accès adéquat à l’eau et aux
installations sanitaires.
Il fait état d’un besoin de trois conteneurs
d’eau supplémentaires, d’un réseau de
canalisations, d’un système d’égout
adéquat, de sol en béton pour protéger le camp
de la boue pendant l’hiver et d’une aide à la
génération de moyens d’existence pour permettre
aux réfugiés de créer de petites entreprises
et ainsi améliorer leur situation
économique.
A ce jour, en coordination avec le HCR, l’OIM a
distribué de l’aide non alimentaire à un total
de 1 773 réfugiés du camp, comprenant des plaques de
cuisson, des bouteilles de gaz, des filtres à eau, des
lampes rechargeables et de la literie.
Dans le cadre du Plan d’intervention régional pour
la Syrie, l’OIM en Iraq a lancé un appel de 2 millions
de dollars afin d’aider les réfugiés syriens de
juin à décembre 2012. A ce jour, l’Organisation
n’a reçu aucune contribution de la part des
donateurs.
Pour visionner trois petites vidéos du camp de Domiz,
cliquez sur le lien suivant :
"paragraph-link-no-underline" href=
"http://www.youtube.com/playlist?list=PL55E334E451572ED7">http://www.youtube.com/playlist?list=PL55E334E451572ED7
Pour plus d’informations, veuillez contacter
Lado Gvilava
OIM Iraq
Tel: +962 795 409 624
Email:
"mailto:lgvilava@iom.int">lgvilava@iom.int