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Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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Le Nigéria et l’OIM organisent un Dialogue sur la migration irrégulière et la gestion des frontières
Nigéria - En collaboration avec l’OIM, le gouvernement fédéral du Nigéria organise cette semaine, à Abuja, un Dialogue international de quatre jours sur la migration irrégulière et la gestion des frontières.
La rencontre, qui a débuté hier et qui réunit des hauts responsables de la migration venus du Nigéria, du Bénin, du Cameroun et du Tchad, vise à fournir une plateforme pour l’élaboration d’une politique officielle et de structures opérationnelles de coopération et de coordination entre les services d’immigration nigérians et ses homologues dans les pays voisins.
Le projet, qui fait partie d’un projet financé par l’Union européenne (UE) intitulé « Promouvoir une meilleure gestion des migrations au Nigéria », cible de vastes domaines de collaboration, notamment la collecte et le partage de données et de renseignements, la lutte contre la criminalité organisée, la migration irrégulière, la gestion de la migration régulière, la traite et le trafic illicite de migrants, et la sécurité dans les régions frontalières.
Le gouvernement nigérian reconnaît que le Nigéria est un pays de destination et d’origine de choix pour les migrants. Il est également un pays d’origine, de transit et de destination pour la traite, en particulier des femmes et des enfants.
Les frontières nationales du Nigéria sont difficiles à gérer. Le pays partage environ 4 047 km de frontière avec le Bénin, le Cameroun, le Tchad et le Niger. Les communautés, les groupes ethniques et même les membres de mêmes familles transcendent ses frontières en entretenant des liens économiques, sociaux et culturels depuis des siècles.
Les activités des groupes terroristes comme Boko Haram au nord-est du Nigéria et Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI) dans la région du Sahel ont suscité l’attention de la communauté internationale sur les effets des mouvements irréguliers dans la région frontalière au nord-est du Nigéria. La fabrication de faux documents par le biais de groupes de criminalité organisée a également été largement signalée.
Le Dialogue d’Abuja aidera les services d’immigration nigérians à commencer à développer des structures pour élargir sa coopération et sa collaboration avec les services d’immigration des pays voisins, reconnaissant ainsi que la gestion des migrations n’est pas qu’un problème national.
Parmi les recommandations figure le renforcement des capacités de renseignements aux points de contrôle aux frontières grâce à la collecte et au partage de renseignements avec les responsables de l’immigration des pays voisins. Une coopération accrue sera également nécessaire pour faire face aux problèmes de fraude documentaire, pour rendre plus efficaces les protocoles d’entrée et de sortie et pour s’occuper des migrants irréguliers et des personnes victimes de traite et de trafic illicite.
Pour plus d’informations, veuillez contacter
Polycarpe Kumasamba
OIM Nigéria
Email: pkumasamba@iom.int
Tel. + 234 80 29 45 34 00