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Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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Le Libéria étend ses activités de dépistage au-delà des frontières pour combattre la propagation d’Ebola
Liberia - Aucun nouveau cas d’Ebola n’a été signalé au Libéria mais compte tenu de la transmission active du virus en Sierra Leone et en Guinée voisines, l'OIM étend ses activités pour renforcer le dépistage des voyageurs aux frontières du pays et pour accroître sa capacité de surveillance.
Dans le cadre d'un nouveau projet financé par le Bureau américain de l'aide en cas de catastrophe à l'étranger (OFDA) de l'USAID, l'OIM travaillera en coopération avec les équipes de santé des comtés et avec la Division de la prévention et du contrôle de la maladie du Ministère de la santé afin de fournir des ressources clés, une formation et des activités de mentorat aux principaux ports d'entrée et aux communautés frontalières dans les comtés de Grand Cape Mount, de Lofa, de Bong, de Nimba, de Grand Gedeh, de River Gee et de Maryland.
«Le Libéria traverse sa troisième vague d’Ebola et pour avancer, il est essentiel de renforcer les activités de surveillance afin de garantir la détection précoce de cas importés, l’identification, le suivi et le contrôle de contacts potentiels à haut risque », déclare Thomas Nagbe, Directeur de la Division de la prévention et du contrôle de la maladie du Ministère de la santé et Président du Comité technique national de surveillance de la maladie.
« Avec les mariages interethniques, les liens sanguins et le commerce quotidien à travers les frontières, il est aussi important d'établir des réseaux clés au sein des communautés à fin d'élaborer des systèmes de surveillance d'alerte rapide. L'OIM travaille à nos côtés et joue un rôle essentiel de secrétariat et fait partie de l'équipe technique qui dirige la stratégie frontalière du pays visant à prévenir la transmission d’Ebola », fait-il remarquer.
Pour permettre une circulation transfrontalière libre et sûre, l'OIM formera des acteurs clés de l'immigration et de la santé à des postes frontières et des postes de contrôle identifiés comme prioritaires afin d'améliorer l'efficacité et la qualité des procédures de dépistage à l'entrée et à la sortie. Ces activités seront financées en vue d'améliorer les normes de prévention et de contrôle de l'infection, de fournir des espaces d'isolement, et de faciliter les renvois médicaux et la diffusion d'informations sur l'aide à la structure nationale de surveillance de la maladie.
Par le biais d'organisations locales, l'OIM fournira également une formation, des outils et une surveillance afin de permettre aux communautés migrantes frontalières et vulnérables de surveiller durablement la situation au sein des communautés et de signaler systématiquement tout cas suspect afin de déployer rapidement les mesures de santé publique nécessaires.
« À cet instant critique de la lutte contre Ebola dans la région, il est essentiel d'aider les zones difficiles à atteindre et touchées par la mobilité humaine, en particulier les zones frontalières. Grâce à ce financement des États-Unis, l'OIM pourra intensifier son aide au Ministère de la santé, tout en travaillant avec les organisations communautaires afin de garantir la durabilité et l’intégralité de l’aide ciblant les communautés. Ces activités renforceront la capacité de surveillance dans les zones frontalières, conformément aux conditions imposées par la réglementation sanitaire internationale et par la stratégie nationale de surveillance intégrée de la maladie », déclare Salvatore Sortino, chef de mission de l'OIM au Libéria.
Depuis mars 2015, l'OIM soutient les efforts de dépistage et de surveillance aux postes frontières et au sein des communautés frontalières par le biais du groupe multipartenaires de coordination aux frontières et par l'intermédiaire d'une aide directe aux comtés de Grand Cape Mount, de Grand Bassa et de Bomi.
L'Organisation mondiale de la Santé (OMS) a mis en avant la forte mobilité des populations et les déplacements transfrontaliers de voyageurs infectés comme un défi majeur pour le gouvernement dans l'endiguement de la propagation d’Ebola en Afrique de l'Ouest. De ce fait, il est largement admis que tant que ces trois pays n'auront pas enrayé la transmission du virus, tous les acteurs, en particulier le long des frontières poreuses de la région, doivent rester vigilants.
Depuis le début de l'épidémie en mars 2014, 10 672 des 27 748 cas dans la région ont été signalés au Libéria, provoquant plus de 4 808 décès sur 11 279 décès au total.
Pour plus d'informations, veuillez contacter l'OIM à Monrovia. Sandra Tumwesigye, Tel: +231 886 202 758, Email: stumwesigye@iom.int ou Claire Lyster, Tel: +2318 807 72107, Email: clyster@iom.int