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Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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Le film « IOM X Drama » met en lumière la traite des personnes dans le secteur piscicole
Thaïlande - La circulation des piétons s’est arrêtée aujourd’hui dans le quartier commerçant le plus animé de Bangkok alors que la foule se pressait pour assister à la première de « Prisana : an IOM X drama », une histoire d’amour captivante dans le monde sous-terrain de la traite dans l’industrie piscicole en Asie-Pacifique.
« Les jeunes seront attirés par Prisana car c’est une histoire d’amour forte qui met en scène leurs acteurs préférés, sur une bande originale extraordinaire. Nous espérons que cette histoire permettra de faire comprendre comment la traite affecte les familles à travers la région, et qu’elle inspirera ensuite les jeunes à transmettre ce qu’ils ont appris avec d’autres afin de prévenir l’exploitation et la traite des personnes dans nos communautés », a déclaré Tara Dermott, chargé du programme IOM X.
Prisana met en scène de vraies célébrités, notamment Ananda Everngham aux commandes en tant que productrice et les acteurs Mario Maurer et Mai Davika Hoorne en tant que personnages principaux. Il s’agit de la première réunion du couple sur grand écran depuis Pee Mak, plus gros succès cinématographique de Thaïlande.
Dans Prisana, Mari Maurer joue le rôle d’un photographe qui se retrouve à aider une femme migrante à rechercher son mari victime de traite dans l’industrie de la pêche. Le travail de Mario le sépare de sa petite-amie, Mai Davika Hoorne, provoquant des tensions dans leur relation. Mario est déchiré entre son amour pour Mai et sa passion pour son travail. Il pense qu’il doit se battre pour ceux qui n’ont pas de voix. Pour essayer de comprendre l’absence de Mario, Mai entreprend un périple d’apprentissage et se rend rapidement compte de l’héroïsme inhérent à sa lutte contre la traite dans l’industrie piscicole.
Prisana a été produit avec le soutien du gouvernement royal thaï. L’OIM est ravie de compter parmi ses partenaires de lancement de diffusion : TQPR, Channel 7, Baidu, Thai Rath TV, EmDistrict, True Plookpanya, Skynet TV (Myanmar), CTN (Cambodia), SpokeDark, Amarin TV, MTV Philippines, MTV Thailand et Love Frankie.
IOM X est la nouvelle campagne de l’OIM visant à prévenir la traite des personnes et l’exploitation. Elle est menée à bien en partenariat avec l’Agence américaine pour le développement international (USAID). Tous les programmes d’IOM X sont disponibles gratuitement pour les diffuseurs, les organisations et les personnes qui souhaiteraient utiliser les supports à des fins pédagogiques.
Le film de 12 minutes « Prisana : an IOM X Drama » peut être visionné sur IOMX.org/FISH. Les personnes qui souhaitent apporter leur soutien à la vidéo peuvent utiliser le hashtag #ICAREDOYOU dans leurs publications.
Il existe un schéma de recrutement courant pour les victimes de traite dans le secteur piscicole : un intermédiaire proposant du travail dans les secteurs de la construction, de l’industrie ou de l’agriculture approche des jeunes hommes dans leur communauté. Le salaire proposé se situe entre 100 et 250 dollars par mois. Les travailleurs recrutés n’ont pas suffisamment d’argent pour financer leur voyage jusqu’au lieu de travail alors ils acceptent de déduire de leur paie les frais de l’intermédiaire une fois qu’ils auront commencé le travail. L’intermédiaire leur fournit le transport. Si une frontière doit être traversée, soit l’intermédiaire poursuit le voyage avec les recrues, soit il les transfère à un autre intermédiaire à un point de passage. Une fois qu’ils arrivent sur la côte, les travailleurs sont ensuite transférés vers un nouvel intermédiaire qui les vend à un propriétaire ou à un capitaine de bateau. Généralement, les victimes ne savent ni où elles se trouvent, ni ce qui leur est arrivé jusqu’à ce qu’elles se retrouvent entre les mains de trafiquants dans la zone portuaire, qui les mettent sur un bateau. Certains des travailleurs sont même parfois transférés ou vendus d’un bateau à un autre, en pleine mer. |
Pour plus d’informations, veuillez contacter Mia Barrett, Chargés des relations presse IOM X, Tel: ++66 84 705 2114, Email: mbarrett@iom.int