-
Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
Structure
Structure
- Structure organisationnelle
- Directrice générale
- Directrice générale adjointe chargée de la gestion et des réformes
- Directrice générale adjointe chargée des opérations
- Bureau du Chef de Cabinet
- Bureau des partenariats, de la sensibilisation et de la communication
- Bureau de la stratégie et de la performance institutionnelle
-
Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
Ce que nous faisons
Ce que nous faisons
Partenariats
Partenariats
- Où travaillons-nous
-
Agir
Agir
Travailler avec nous
Travailler avec nous
Engagez-vous
Engagez-vous
- Données et recherche
- 2030 AGENDA
Le Directeur régional de l’OIM en Asie évalue les opérations à la frontière cambodgienne à l’approche de la barre des 180 000 migrants
Cambodge - Quelque 180 000 migrants irréguliers cambodgiens auraient traversé la frontière depuis la Thaïlande pour retourner dans leur pays lors d’un exode qui a débuté il y a dix jours et qui ne montre que maintenant des signes de ralentissement.
Une dizaine de milliers de migrants supplémentaires devraient traverser aujourd’hui au poste-frontière de Poi Pet, alors que l’OIM continue d’œuvrer aux côtés du gouvernement cambodgien pour fournir un transport et prévenir les dangereux goulets d’étranglement des travailleurs migrants de retour.
Alors que les raisons de ces mouvements de masse restent floues, il semble que la plupart des migrants cambodgiens sans papiers qui vivaient en Thaïlande soient retournés dans leur pays d’origine. Toutefois, l’OIM signale que les premières estimations du nombre de Cambodgiens en Thaïlande ne sont pas nécessairement justes.
Les conditions à la frontière sont rudimentaires, mais la situation humanitaire ne semble pas être alarmante, grâce au couloir de transport efficace qui continue de fonctionner du matin jusqu’au soir.
Andrew Bruce, Directeur régional de l’OIM pour l’Asie et le Pacifique, s’est rendu à Poi Pet hier pour évaluer les opérations humanitaires déployées par l’OIM qui viennent compléter les efforts du gouvernement cambodgien.
L’OIM loue des cars pour transporter gratuitement les migrants les plus vulnérables, principalement les femmes voyageant avec des enfants, vers leurs provinces d’origine. Les hommes, qui représentent plus de 60 pour cent des cas, voyagent à bord de camions militaires. Jusqu’ici, l’OIM a fourni une aide directe à près de 6 000 des cas les plus urgents.
« Bien que le pic de flux de migrants semble derrière nous, nous ne prenons rien pour acquis et nous resterons ici, si les fonds le permettent, jusqu’à ce que nos services ne soient plus nécessaires », a déclaré Andrew Bruce. « En dehors des périodes de conflit et de catastrophes naturelles, ces mouvements rapides de personnes sont sans précédent dans cette région. »
L’opération de l’OIM est menée à bien par une petite équipe d’employés internationaux et cambodgiens à Poi Pet, soutenue par le bureau national de l’Organisation à Phnom Penh, la capitale, et par son bureau régional à Bangkok, en Thaïlande.
Un médecin a rejoint l’équipe depuis le bureau de l’OIM au Myanmar. Elle s’assure que tous les migrants à la charge de l’OIM soient aptes à voyager et fournit également des conseils et une aide au personnel médical local.
« Bien que l’OIM dirige les opérations face à cette crise migratoire, nous sommes extrêmement reconnaissants envers nos partenaires dans les équipes de pays des Nations Unies au Cambodge, ainsi qu’envers les ONG et les habitants locaux qui fournissent différents types d’aide aux migrants à la frontière », a déclaré Andrew Bruce.
« Bien sûr, nous remercions également nos donateurs pour leur soutien financier. Cette situation aurait rapidement pu devenir dangereuse si nous n’avions pas pu agir rapidement et résolument. »
Pour plus d’informations, veuillez contacter :
A Phnom Penh:
Leul Mekonnen, Email: lmekonnen@iom.int - Tel. +855 12 900 131
à Poi Pet:
Brett Dickson, Email: bdickson@iom.int - Tel. +855 12 222 132
Joe Lowry, Email: jlowry@iom.int - Tel. +66 81 870 8081
Voir également @IOMasiapacific sur Twitter et consulter la Page Facebook de l’OIM