-
Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
Structure
Structure
- Structure organisationnelle
- Directrice générale
- Directrice générale adjointe chargée de la gestion et des réformes
- Directrice générale adjointe chargée des opérations
- Bureau du Chef de Cabinet
- Bureau des partenariats, de la sensibilisation et de la communication
- Bureau de la stratégie et de la performance institutionnelle
-
Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
Ce que nous faisons
Ce que nous faisons
Partenariats
Partenariats
- Où travaillons-nous
-
Agir
Agir
Travailler avec nous
Travailler avec nous
Engagez-vous
Engagez-vous
- Données et recherche
- 2030 AGENDA
Le Dialogue sur la migration pour l’Afrique de l’Ouest adopte son rapport final et inaugure son Comité directeur
Nigéria - A l’occasion de la dernière journée de la réunion du MIDWA à Abidjan, en Côte-d’Ivoire, le 25 août, un accord a été trouvé entre les membres de la CEDEAO sur un plan d’action commun. Des ministres, des délégués et des experts ont travaillé ensemble pendant trois jours pour concevoir le plan d’action et ont approuvé un comité directeur pour suivre les progrès en matière de gestion des migrations en Afrique de l’Ouest.
La réunion du MIDWA a été organisée par la CEDEAO afin de débattre des défis sur la libre circulation des personnes et sur la migration dans la région de la CEDEAO. Chaque Etat membre a reconnu que des améliorations étaient encore possibles.
La région de la CEDEAO est caractérisée par des taux élevés de mobilité humaine transfrontalière et de migration provoquées par le changement climatique. Elle est aussi confrontée au terrorisme et à la corruption aux frontières. L’impact socioéconomique de la libre circulation des personnes est également miné par le manque de soutien et de politiques viables d’intégration des Etats membres de la CEDEAO.
Des experts de haut niveau et des responsables gouvernementaux des 15 Etats membres de la région de la CEDEAO et de la Mauritanie ont débattu et travailler sur sept thèmes : la gestion des frontières, la diaspora, la mobilité professionnelle et l’échange d’étudiants, l’impact des changements climatiques, la gestion des données, la réintégration et les partenariats. Ils ont émis une liste de recommandations pour chaque thème.
Voici certaines des recommandations clés de la réunion : la nécessité d’actualiser les cadres juridiques en matière de refus d’entrée de voyageurs sans documents de voyage (gestion des frontières) ; la nécessite de considérer la migration comme une question sociale (diaspora) ; la nécessité de renforcer les mécanismes de gestion des ressources naturelles transfrontalières en faisant davantage participer les autorités locales (changements climatiques) ; et la nécessité de continuer à sensibiliser les populations sur les droits et la libre circulation des citoyens (partenariats).
Pour plus d’informations, veuillez contacter Frantz Celestin, OIM Nigéria, Email: fcelestin@iom.int.