-
Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
Structure
Structure
- Structure organisationnelle
- Directrice générale
- Directrice générale adjointe chargée de la gestion et des réformes
- Directrice générale adjointe chargée des opérations
- Bureau du Chef de Cabinet
- Bureau des partenariats, de la sensibilisation et de la communication
- Bureau de la stratégie et de la performance institutionnelle
-
Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
Ce que nous faisons
Ce que nous faisons
Partenariats
Partenariats
- Où travaillons-nous
-
Agir
Agir
Travailler avec nous
Travailler avec nous
Engagez-vous
Engagez-vous
- Données et recherche
- 2030 AGENDA
Le DG de l’OIM participe à la Conférence des donateurs à Londres pour la Syrie et la région
Royaume-Uni - Cette semaine, le Directeur général de l’OIM, William Lacy Swing, a participé à la conférence des donateurs « Supporting Syria and the Region 2016 » co-organisé à Londres par le Royaume-Uni, le Koweït, la Norvège et les Nations Unies.
Hier, la conférence s’est appuyée sur le succès des trois précédentes conférences des donateurs qui ont eu lieu au Koweït, ainsi que sur la Conférence de Berlin sur la situation des réfugiés syriens en 2014 et sur le récent Forum pour le développement de la résilience à Amman.
Les donateurs ont promis plus de 10 milliards de dollars, engagés principalement par l’Union européenne, l’Allemagne, le Royaume-Uni, la France, la Norvège, les Etats-Unis, l’Italie, le Japon et le Koweït.
S’exprimant au journal britannique The Guardian à Londres, l’Ambassadeur Swing a salué la générosité de la communauté mondiale mais a fait remarquer que cette aide n’était qu’une partie de la réponse.
« L’aide financière est un élément important dans cette situation complexe mais le plus important est de mettre fin à la guerre. Dans le même temps, nous devons sauver des vies et les améliorer, et cela commence par l’éducation des enfants enfants et la création d’emplois », a t-il déclaré.
Il a également déclaré que résoudre la crise en Syrie ne réglerait pas seul la crise migratoire en Europe, car les Syriens ne représentent que la moitié des flux vers le continent.
« Je ne me souviens d’aucune époque à travers ma longue carrière au cours de laquelle nous avons connu autant de crises complexes simultanées prolongées – allant de la corne de l’Afrique à l’Himalaya. Il y a Boko Haram au Nigéria, en Somalie, au Soudan du Sud, en Iraq, en Afghanistan, des révolutions en cours en Libye et au Yémen et puis il y a la Syrie, tout cela en même temps. Le plus gros effort est d’en terminer avec la guerre en Syrie mais il faut aussi s’occuper des autres pays où la vie des habitants est en suspens », a t-il ajouté.
Il a également appelé la communauté internationale à ne pas renoncer à la politique de réinstallation légale dans le cadre de sa réponse, car la probabilité accrue de réinstallation légale a tendance à encourager les gens à rester plus longtemps dans les pays de transit.
Avant la Conférence de Londres, Mohammed Abdiker, Directeur de l’OIM pour les opérations d’urgence, s’est rendu en Syrie, dans les communautés touchées de Rif Dimashq, et notamment dans un centre collectif récemment réhabilité par l’OIM.
L’OIM a installé une Clinique de premiers soins dans le centre, ainsi que des systèmes de distribution d’eau desservant 18 000 personnes, notamment les membres de la communauté d’accueil, les déplacés internes et les rapatriés.
« La situation reste catastrophique en Syrie pour des millions de personnes. Les familles que j’ai rencontrées à Rif Dimashq ont tout perdu et ont été déplacées de nombreuses fois. Pire, elle perdent l’espoir d’un avenir meilleur. Les promesses de dons engagées par la communauté internationale à Londres doivent se concrétiser rapidement pour permettre aux partenaires humanitaires de répondre aux besoins de protection de base des Syriens’, a déclaré Mohammed Abdiker.
En 2015, l’OIM a fourni des abris, des articles d’aide non alimentaire, une aide à la production de moyens d’existence, une protection, des soins de santé et un transport à plus de six millions de personnes, en Syrie et dans la région. L’OIM continue d’intensifier ses programmes pour répondre aux défis posés par la crise prolongée en mettant l’accent sur l’aide à la stabilisation et le renforcement de résilience.
L’OIM aide les individus et les communautés d’accueil à mieux gérer l’impact de la crise en améliorant les possibilités de moyens de subsistance et l’accès aux services et aux infrastructures de base et en préservant la cohésion sociale, a fait remarquer Mohammed Abdiker.
L’appel interorganisations 2016 pour la crise syrienne s’élève à 7,73 milliards de dollars pour les opérations à mener à bien à la fois en Syrie et dans les pays voisins qui accueillent des réfugiés. Dans le cadre de l’appel, l’OIM demande 254 millions de dollars pour ses opérations en Syrie et dans la région, notamment en Jordanie, en Iraq, au Liban et en Turquie.
Pour plus d’informations, veuillez contacter Geraldine Ansart, OIM siège, Tel. +41 79 250 02 28, Email: gansart@iom.int ou l’équipe de coordination de la crise syrienne, Email: scc@iom.int