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Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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Lancement de la phase pilote de l’enregistrement biométrique des déplacés
Soudan du Sud - L’OIM vient de terminer l’enregistrement de 28 968 déplacés internes ayant trouvé refuge dans deux des plus grands sites de protection des civils (PoC) à Juba, au Soudan du Sud : la Maison des Nations Unies et Tomping.
La technologie biométrique a été intégrée au processus pour la première fois au Soudan du Sud lors d’une phase pilote d’enregistrement biométrique dans le site de la Maison des Nations Unies.
L’Unité de la Matrice de suivi des déplacements (DTM) de l’OIM a réalisé l’enregistrement sur une semaine entière, couvrant 3587 familles, soit 14 448 individus à la Maison des Nations Unies et 4314 familles, soit 14 520 individus, à Tomping.
Elle a recueilli des informations de base sur la population déplacée, notamment les statistiques démographiques, la taille des foyers et les données liées aux intentions des déplacés internes s’agissant de leurs futurs déplacements. Un fichier d’empreintes digitales de chaque chef de famille de déplacés internes a également été constitué.
Ces fichiers seront essentiels aux organismes humanitaires pour identifier les groupes vulnérables pendant la distribution de nourriture, d’aide non alimentaire et l’attribution d’abris.
« L’OIM prévoit d’utiliser la technologie biométrique lorsque cela est possible afin d’enregistrer numériquement les personnes susceptibles d’être déplacées pendant longtemps et en vue d’améliorer le processus d’enregistrement dans son ensemble. La méthodologie a été peaufinée pour que l’enregistrement de n’importe quel site puisse être terminé en un jour afin d’identifier plus efficacement la population déplacée », a déclaré Vlatko Avramovski, expert de l’OIM sur le suivi de la mobilité humaine.
« Cette nouvelle technologie et cette méthodologie améliorée ont pour but de fournir des données démographiques plus précises qui peuvent être utilisées par les fournisseurs de services d’urgence pour planifier des interventions efficaces, tout en facilitant les discussions visant à identifier les solutions de déplacement potentielles dans la crise actuelle », a-t-il ajouté.
Les opérations d’enregistrement ont été réalisées en coopération étroite avec les communautés de déplacés internes concernées. L’OIM a fait participer les chefs de communautés et a employé des résidents des sites pour apporter leur aide à chaque étape du processus, notamment la mobilisation communautaire, la sensibilisation et la collecte de données.
Des milliers de personnes ont fui les quartiers de Juba pendant la première semaine de la crise en décembre 2013 pour rejoindre les sites de protection des civils plus sûrs dans les bases de l’UNMISS et de la Maison des Nations Unies. La grande majorité des déplacés internes dans les deux sites sont issus de la communauté Nuer, et quelques-uns sont des étrangers, dont bon nombre des travailleurs migrants, des ressortissants en transit ou des réfugiés sans papiers originaires des pays de la région.
Actuellement, le nombre de déplacés internes sud-soudanais ou de Sud-soudanais réfugiés dans les pays voisins est estimé à 1,3 million. Au total, plus de 87 000 déplacés internes continuent de trouver refuge dans huit bases des Nations Unies à travers le Soudan du Sud.
Pour plus d’informations, veuillez contacter
Harish Murthi
OIM Soudan du Sud
Tel: +211 (0) 920885805
Email: hmurthi@iom.int