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Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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- 2030 AGENDA
Étudier les effets des problèmes environnementaux et migratoires sur la sécurité humaine
Garantir la sécurité humaine dans un monde
confronté aux trois problèmes les plus
préoccupant à l'heure actuelle – le changement
climatique, la dégradation de l'environnement et les
migrations, tel sera le centre des débats lors d'une
conférence internationale qui se tiendra à
Genève le 19 février prochain.
Organisée conjointement par la Grèce, en sa
qualité de pays président du Réseau de
sécurité humaine, et par l'OIM, la conférence
étudiera à la fois les effets de la
dégradation environnementale et du changement climatique sur
la sécurité humaine et les migrations et ceux des
migrations sur l'environnement, et comment une interaction entre
ces deux phénomènes peut entraîner un conflit
potentiel.
Alors que le monde s'est montré de plus en plus
préoccupé par le changement climatique, la
dégradation environnementale et les migrations en tant que
problèmes distincts, les effets que ceux-ci ont sur la
sécurité humaine et la probabilité d'un
conflit ont reçu le même degré d'attention de
la part des responsables politiques et des chercheurs.
Bien que les données sur le nombre de migrants
environnementaux – ces "personnes ou groupes de personnes
qui, pour des raisons impérieuses de changements soudains ou
progressifs dans l'environnement qui nuisent à leur vie ou
à leurs conditions de vie, sont obligés de quitter
leur domicile, ou choisissent de le faire, temporairement ou
indéfiniment, et qui migrent dans ou à
l'extérieur de leur pays" – et que les estimations
futures restent floues car variant entre 25 millions et milliard de
migrants d'ici 2050, des personnes de par le monde doivent quitter
leur foyer ou leur pays non seulement à cause de la hausse
du niveau des mers, de la rareté de l'eau et de
l'incapacité à cultiver durablement, mais aussi
à cause de la vulnérabilité face à un
nombre toujours plus grand de phénomènes
météorologiques qui détruisent des vies et des
moyens de subsistance.
Les déplacements de populations humaines dus aux
catastrophes naturelles soudaines ou non, en plus des conflits
politiques, jouent également un rôle critique dans la
dégradation environnementale et dans les tensions
liées à l'amenuisement des ressources, en particulier
l'eau et la terre.
La conférence – qui sera marquée par des
discours-programmes de Theodoros Skylakakis, Secrétaire
général des Relations économiques
internationales et de la Coopération au développement
au ministère grec des Affaires étrangères, du
Directeur général de l'OIM Brunson McKinley, du
Secrétaire général de l'Organisation
météorologique mondiale (OMM), Michel Jarraud, et de
Kyung-wha Kang, Haut Commissaire adjoint aux droits de l'homme
– identifiera les grands enjeux liés au climat,
à la dégradation environnementale, aux migrations et
à la sécurité humaine, et étudiera les
moyens d'atténuer les effets des migrations sur
l'environnement ainsi que le recours à des stratégies
migratoires pour aider à limiter les dommages
environnementaux et les crises humaines potentielles.
Parmi les panélistes figureront E.Angus Friday,
ambassadeur de Grenade auprès des Nations unies à
New-York, Grenade étant à la tête de l'Alliance
des petits États insulaires, ainsi que d'éminents
représentants de la communauté universitaire et des
ONG.
"Une planification et une action précoces pour
régler cette question complexe et multidimensionnelle
peuvent permettre de réduire considérablement les
effets du changement climatique, de la dégradation
environnementale et des migrations sur la sécurité
humaine. Nous tenons là l'occasion de faire un pas en avant
vers la résolution de ce problème," déclare
Brunson McKinley.
"Désormais à la tête du Réseau de
sécurité humaine, la Grèce sentait que les
migrations de populations dues à la dégradation du
climat et de l'environnement représentaient un défi
pour la sécurité humaine. Genève, où
travaillent et vivent la plupart de ceux qui comprennent cette
question sérieuse et complexe, semble âtre l'endroit
idéal pour s'attaquer à ce problème" affirme
Franciscos Verros, ambassadeur de la Grèce auprès des
Nations unies à Genève.
Le Réseau de sécurité humaine est un groupe
de 13 pays issus de diverses régions du monde qui maintient
le dialogue sur les questions relatives à la
sécurité humaine au niveau des Ministres des Affaires
étrangères et qui, en tant que mécanisme
informel et flexible, identifie des thèmes concrets en vue
d'une action collective.
La conférence, qui se tiendra au siège de
l'Organisation météorologique mondiale (OMM) à
Genève, est ouverte aux médias.
Pour obtenir des documents d'informations et connaître
l'ordre du jour, veuillez consulter les sites
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"http://www.greeceun.ch" target="_blank" title=
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