-
Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
Structure
Structure
- Structure organisationnelle
- Directrice générale
- Directrice générale adjointe chargée de la gestion et des réformes
- Directrice générale adjointe chargée des opérations
- Bureau du Chef de Cabinet
- Bureau des partenariats, de la sensibilisation et de la communication
- Bureau de la stratégie et de la performance institutionnelle
-
Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
Ce que nous faisons
Ce que nous faisons
Partenariats
Partenariats
- Où travaillons-nous
-
Agir
Agir
Travailler avec nous
Travailler avec nous
Engagez-vous
Engagez-vous
- Données et recherche
- 2030 AGENDA
Djibouti accueille le Forum sur les migrations africaines
Djibouti – Le gouvernement de Djibouti accueille la quatrième conférence du Forum panafricain sur les migrations (PAFoM IV), qui s’est ouverte ce 19 novembre 2018. La conférence, qui a pour thème "Tirer parti les avantages du régime de libre circulation des personnes pour le développement durable en Afrique » est organisée en collaboration avec la Commission de l'Union africaine (CUA), l'Autorité intergouvernementale pour le développement (IGAD) et l'Organisation internationale pour les migrations (OIM).
Organisé chaque année depuis 2014, le Forum vise à susciter un engagement plus ciblé de tous les acteurs concernés par les migrations sur le continent africain. Des dizaines de délégués représentant trente-quatre États membres de l'Union africaine, des Commissions économiques régionales (CER), des organisations internationales, le secteur privé, les syndicats, les universités, les parlementaires, la communauté de la diaspora africaine et les organisations de la société civile travaillant avec Migration y participent.
Ouvrant les débats, le Premier ministre djiboutien, M. Abdoulkader Kamil Mohamed, a exhorté les États membres africains à favoriser le dialogue «car la migration transcende les frontières, elle nécessite une coopération et une coordination renforcées».
La conférence de trois jours est divisée en sessions qui délibèrent sur un programme de mobilité humaine coordonné pour l'Afrique, partageant des expériences sur les avantages et les inconvénients de la libre circulation, la zone de libre-échange continentale, des données précises pour la formulation de politiques fondées sur des preuves la cohésion, l'intégration et la coopération en matière de sécurité.
Le continent, à travers l'UA et les CER respectives, s'emploie à donner aux États membres les moyens de consolider les instruments, politiques, lois et autres engagements facilitant la libre circulation des personnes, des biens et des services sur le continent. Une étude récente commandée par l'UA et l'OIM a révélé que 80% des mouvements transfrontaliers sur le continent sont internes ou intra-africains, il devient important pour l'UA de veiller la libre circulation des personnes sur le continent.
La libre circulation des peuples africains est un rêve de longue date pour l'organe continental et l'un des projets phares de l'Agenda 2063, qui vise à propulser le continent vers la prospérité dans les 50 prochaines années, en mettant l'accent sur «un continent aux frontières transparentes». Cependant, l'indice de transparence des visas pour l'Afrique, un guide de la Banque africaine de développement (BAD), révèle que les pays africains restent en grande partie fermés aux citoyens africains.
En conséquence, en janvier de cette année, les chefs d’État et de gouvernement de l’Union africaine, à Addis-Abeba, ont adopté le Protocole sur la libre circulation des personnes, le droit de résidence et le droit d’établissement. Le protocole est l’un des piliers du processus d’intégration du continent, avec l’Accord sur la zone de libre-échange continentale et le marché unique du transport aérien en Afrique.
Il dispose d'une feuille de route pour la mise en œuvre qui permet aux personnes de se déplacer librement sur le continent en indiquant clairement les voies à suivre pour régulariser leur séjour et leurs activités dans les pays de destination. Il permettra également d'améliorer la collecte de données fiables sur ces mouvements, de promouvoir la transférabilité des compétences et la protection sociale des travailleurs migrants, garantissant ainsi leur participation effective à la construction des économies de la communauté d'accueil.
Pour plus d'informations: Lalini Veerassamy, OIM Djibouti + 216-2959 8604, lveerassamy@iom.int; Eric Mazango, Bureau spécial de liaison de l'OIM en Ethiopie, +251 904645879, emazango@iom.int.