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Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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Des trousses d’hygiène de l’OIM pour plus de 10 000 migrants salvadoriens de retour
El Salvador – Le bureau extérieur de l’OIM en El Salvador a fourni cette semaine 10 350 trousses d’hygiène à la Direction générale de la migration (DGME), qui seront distribuées à des migrants salvadoriens de retour dans leur pays.
Ces trousses, qui font partie du projet de réintégration des migrants de retour et des victimes de la traite des êtres humains de l’OIM, seront distribuées aux migrants de retour à leur arrivée en provenance des États Unis s’ils voyagent par voie aérienne, et du Mexique, s’ils voyagent par voie terrestre.
Selon les chiffres officiels fournis par la DGME, quelque 29 000 migrants salvadoriens rentrent chaque année au pays. Entre 2010 et 2012, 55 507 personnes sont rentrées par avion des États Unis, et 31 354 autres du Mexique par la voie terrestre.
« Afin de répondre aux besoins les plus essentiels des migrants de retour, l’OIM a décidé de réaliser trois ensembles de trousses, comprenant des articles pour hommes, femmes et enfants. Cette aide est vitale pour les migrants qui reviennent au pays les mains vides et anxieux à l’idée de retrouver leur communauté d’origine et de reconstruire leur vie », explique Jorge Sagastume, Coordonnateur de projet de l’OIM.
L’OIM a également livré à la DGME des chaussures, des tee-shirts, des sous-vêtements pour adultes et pour enfants et des couches jetables, qui seront distribués aux migrants arrivant par avion dans la capitale San Salvador et aux frontières terrestres. Des trousses d’hygiène et des vêtements seront également distribués aux victimes de la traite d’êtres humains à neuf postes frontière terrestres.
Le projet a aussi aidé les autorités à remettre en état des centres d’accueil de réfugiés qui rentrent chez eux, a dispensé des formations et fourni un soutien financier aux migrants de retour souhaitant créer des microentreprises.
En collaboration avec l’association salvadorienne pour l’éducation financière ASEFIN, l’OIM aide les migrants de retour et les victimes de la traite des personnes à mettre sur pied un plan d’activités. Jusqu’à présent, l’OIM a aidé 20 personnes à élaborer un plan d’activités et leur a fourni conseils et appui financier pour l’achat des équipements et autres matériels nécessaires au lancement de leur entreprise.
Les migrants sont confrontés à de nombreux défis une fois de retour dans leur pays, notamment à la difficulté de trouver un emploi, un logement, de la nourriture, et à celle d’accéder aux soins de santé et à l’enseignement. Ils sont montrés du doigt comme étant des migrants de retour, doivent faire face à des problèmes émotionnels et psychologiques tels que l’anxiété, la dépression et l’agressivité, et risquent de voir leur famille éclater après une longue période d’absence.
Face à cette réalité peu réjouissante et à des perspectives faibles ou inexistantes de trouver un emploi, les migrants de retour risquent fortement d’être recrutés par des bandes et autres réseaux criminels.
On estime à environ trois millions le nombre de Salvadoriens vivant à l’étranger, principalement aux États-Unis, au Canada, en Espagne et en Italie.
Ce projet de l’OIM est financé par le Groupe de travail pour la stabilisation et la reconstruction du Gouvernement du Canada.
Pour plus d’informations, veuillez contacter
Adriana Granados
à l’OIM El Salvador
Tél. : +503.2521.0535
Courriel : pressiomsansalvador@oim.int