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Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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Des officiers consulaires se réunissent au Nicaragua pour un atelier sur la protection des droits des travailleurs migrants
Plus de 30 officiers consulaires originaires de onze pays qui
composent la Conférence régionale sur la migration se
sont réunis cette semaine, à Managua, la capitale du
Nicaragua, pour un atelier de formation sur la protection des
droits fondamentaux des travailleurs migrants.
Les participants, originaires du Belize, du Canada, du Costa
Rica, d’El Salvador, du Guatemala, du Honduras, du Mexique,
du Nicaragua, du Panama, de République dominicaine et des
Etats-Unis, se centreront sur la nécessité de
protéger les droits fondamentaux des travailleurs migrants
dans les pays de destination.
Ils débattront des meilleures pratiques et des
enseignements tirés par les officiers consulaires qui
uvrent avec les travailleurs migrants, ainsi que des
mécanismes de coopération entre les gouvernements des
pays d’origine, de transit et de destination.
Les débats contribueront à élaborer des
directives ainsi qu’un plan d’action régional
que les officiers consulaires pourront utiliser lorsqu’ils
sont en contact avec des travailleurs migrants, afin de garantir la
protection de leurs droits.
Selon les estimations officielles, quelque 10,6% des
Centre-Américains, soit cinq millions de personnes, ont
migré pour travailler à l’étranger.
Quelque 15,5% de Salvadoriens vivent à
l’étranger, suivis de 12,7% de Nicaraguayens, 11,7% de
Honduriens, 9% de Guatémaltèques et 3,9% de
Costaricains.
La migration de main-d’uvre en Amérique
centrale a lieu à l’intérieur du pays
(migration rurale-urbaine), vers les pays voisins et à
au-delà de la région.
La migration interne, principalement au Honduras, au Guatemala
et au Nicaragua, est étroitement liée au travail
agricole saisonnier.
La migration de main-d’uvre transfrontière a
lieu entre le Guatemala et le Belize, le Guatemala et le Mexique,
le Nicaragua et le Costa Rica, le Costa Rica et le Panama et entre
Haïti et la République dominicaine.
Les pays de destination pour la migration de
main-d’uvre externe sont les Etats-Unis, le Mexique et
le Canada.
L’American Community Survey du Bureau du recensement
américain de 2010 a révélé que 3,9
millions de personnes originaires d’Amérique centrale,
du Panama et de République dominicaine, vivent aux
Etats-Unis, représentant 9,2% de la population née
à l’étranger vivant aux Etats-Unis.
L’atelier de cette semaine a été
cofinancé par le Gouvernement du Canada et vient
compléter les précédentes sessions de
formation qui ont eu lieu à El Salvador et en
République dominicaine. Il faisait partie du projet
régional de l’OIM intitulé Améliorer la
gestion de la migration de main-d’uvre en
Amérique centrale et en République
dominicaine.
Depuis les 15 dernières années, les pays de la
Conférence régionale sur la migration,
également connus sous le nom de « processus de Puebla
», se réunissent chaque année pour
débattre des questions migratoires régionales,
notamment des droits fondamentaux des migrants. L’OIM fournit
un soutien technique et logistique au Secrétariat technique
de la Conférence.
Pour plus d’informations, veuillez contacter
Yelba Sosa
OIM Nicaragua
Tel.: +505.2268.9569
Email:
"mailto:yscomunicaciones@gmail.com">yscomunicaciones@gmail.com